Pile le jour où je commençais à me dire qu'elles me manquaient, et juste quelques minutes avant la grande prêtresse des chaussures (exilée à Croix), qui avait dû sentir le soleil et l'absence de vent...ou le cuir tout neuf!
Elle m'a surprise en plein essayage. On a poursuivi le test grandeur réelle. concluant.
Aujourd'hui, c'est pas moi qui ai parlé le plus!
Décidément, les fins de matinée sont trop courtes, quand on a des chaussures neuves...
7 commentaires:
Ah oui, vachement plus Côte d'Azur que la version précédente, qui faisait plutôt vacances dans le Larzac, achetée le jour du marché des artisans locaux...
Je me permets d'ajouter qu'il manque le vernis à ongle assorti !
Oui, mais Arlette est une fille nature , une fille du futur...
La nouvelle mouture du modèle Pélerin 2006: c'est quoi cet engouement pour la santiag de plage?
A pô compris cette joie autours de la tong moderne.
C'est vrai quoi ça vaut pas les bonnes vieilles snaps qu'on voyait venir de loin et qui permettaient de gagner quelques centimètres précieux-pour Arlette-!!
Alors, explications: la-sainte- tropézienne permet à Arlette, qui a la peau si fragile (et douce!), même sous les pieds, de sautiller gentiment dans le sable, sans s'enfoncer ces charmants petits éclats de coquillage vicieux dans les orteils. En plus, c'est mieux que la montre pour bronzer à rayures et vérifier le passage du blanc clair au blanc foncé. A l'inverse de la santiag (grand retour de la santiag cet été aussi, je vois qu'on lit Glamour en plus de l'autojournal), la tropézienne d'Arlette ne supporte pas les chaussettes. Prohibées. Mais les brillantes, c'est pas pour le sable: c'est pour sortir le soir et retrouver quand même son chemin!
Et aussi: les centimètres sont précieux pour tout le monde.
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