mardi, octobre 31, 2006

Paquet surprise


Alors, c'est-y quoi dedans?

Lundi au soleil


Je suis là!

Bon c'est vrai, lundi 30 octobre, bizarre. J'ai quitté Dunkerque par le train du matin (nuit et brouillard), avec un tout petit sac à main contenant ma carte bleue, une culotte de rechange, et le chargeur de mon téléphone: bref, le stric minimum. Après un petit tour bd Haussman, j'ai vacqué à mes occupations de provinciale montée à la capitale, puis je me suis achetée des chaussures (plutôt qu'une tour Eiffel qui clignote), et là j'ai encore été coincée par un dilemne: rentrer à Dunkerque, ou descendre à Marseille? Pétrifiée, en manque de pièce pour le pile ou face, j'ai choisi le conseil par téléphone, qui a dit: va à Marseille.
Après avoir déjeuné de viande crue en plein soleil, j'ai organisé mes 2 jours grace à quelques coups de téléphone aux copains pas vus depuis longtemps, et roule!
C'est Bonne Copine qui a râlé pesté contre ces conseils pas du tout avisés qui la privent de son arlette préférée. Mais elle me pardonne. Parce qu'elle m'adore, et que je reviens jeudi.

Cherchez pas à qui appartient cette voiture: c'est celle de Paula.

vendredi, octobre 27, 2006

Impression vespérale


Ce soir, y'a comme un petit air de fête qui flotte dans l'air. On dirait que c'est veille de Noël avancée...Est-ce parce que les vacances commencent pour de vrai? Bonne Copine est en route, j'ai rempli le frigo avec des tas de choses pas diététiques du tout, stocké sa bière préférée et renouvellé la provision de matière première destinée à la phytothérapie, ainsi que la conçoit St Gnou, bref, elle peut débarquer avec ses épisodes de DH en retard: je l'attends de pied ferme. Mais marin quand même.

Au fait! Chic alors, c'est la saison des St Jacques!

jeudi, octobre 26, 2006

Etrons urbains



Les promenades urbaines (visez le double sens de cette expression!!!), lorsqu'elles sont conduites sans grande visibilité, par de toutes petites personnes, rapportent quelquefois de mauvaises surprises sur les roues des poussettes.
Ce matin, nous avons cherché longtemps et vainement une flaque d'eau providentielle.
Vainement, vous voyez ce que ça signifie?
Qu'on n'en a pas trouvé.
Et pourquoi qu'on n'en a pas trouvé?
Parce qu'il n'y en avait pas.
Et pourquoi qu'il n'y en avait pas?
Parce qu'il ne pleut pas.
Donc il fait beau.
Youpie.

La culture du plaisir

J'ai pris mon Grand sous le bras pour aller faire quelques courses, et tout à coup, vla ti pas qu'il me demande: c'est quoi la culture du plaisir?
Hein? danyboonesquement réponds-je...
Là, c'est marqué Virgin la culture du plaisir.
Et me voilà en train d'expliquer que chez Virgin on vend des produits culturels (livres, disques...) qui nous procurent du plaisir, mais nous cultivent aussi, et que, bref, c'est un jeu de mot, tatitata.
pourquoi il y a une dame toute nue sur l'affichemais alors ?
Evidemment. Pourquoi?
Ben, euh, paske c'est pour évoquer le plaisir qu'on a à regarder une dame toute nue, c'est joli, et puis, c'est doux à caresser. Donc ça procure aussi du plaisir.
Hum.
100 m plus loin: tu sais maman, toi, même si tu n'es pas toute nue (ouf, j'avais un doute, là, juste devant la gare), tu es vraiment très jolie.

Merci mon grand...

mercredi, octobre 25, 2006

Confidence

Cet après-midi, j'ai écrit trois pages. Benoît serait fier de moi! Je sais qu'elles ne serviront à rien, mais il m'est venu une réfléxion, ô combien profonde, pendant cet exercice intellectuel.
Je vous la livre.
A part un célèbre cultiveur de mystère, et un extra-terrestre, je connais presque tous les zalettes addicts. Et je me disais que si je vous avais installés tous autour d'un cocktail, avec vos vêtements à vous, vos allures à vous, vos lunettes, et tout ce qui constitue la première impression que l'on a de quelqu'un quand on le rencontre pour la première fois, il n'y aurait jamais eu tous ces échanges.
Moi, avec mon oeil d'Arlette, je vois se créer des affinités qu'on n'aurait pas pu prédire dans la vraie vie.
C'est pour ça que je l'aime bien ma planète. Pour ce que ses habitants se disent.

C'était la minute phi d'Arlette.

Objet insolite


Avant de le mettre à la poubelle, je voulais vous le soumettre. Qu'il ait au moins servi à quelque chose...Mes patates ne lévitant pas, je ne peux pas vous donner l'échelle cette fois.
Désolée.

mardi, octobre 24, 2006

Olivia pouic pouic


Moi, j'aime bien entendre Olivia ruiz à la radio. C'est rafraîchissant. Elle aune voix bizarre qui aurait été comme un gant à Ash, et sa chanson me fait penser à...des petits canards en plastique pour le bain.
Allez savoir pourquoi...

pour écouter, faut aller sur son site. Ou allumer le poste.

Parade Anti attaque bambinesque



J'ai prévenu le grand père: gare ton portable, y'a de la récidive dans l'air. (oui, samedi, deux nouvelles touches attaquées).
Est-ce que le guide du bricolage a inspiré ce système-maison?

Astr'Arlette

Arlette, c'est une fille pragmatique et rationnelle. Entre autres. Donc, si un soir la profusion de bûches n'arrive pas à réchauffer des vides intérieurs, c'est qu'il y a forcémént une raison scientifique.
La voilà, la raison: c'est la faute aux planètes!
Lisez-ça: 24 Octobre 2006C'est une excellente journée pour vous chère Arlette ! Rien de spécial dans les faits, mais il faut voir cette journée comme le point de départ de sept mois de libération... Dans votre activité principale et dans votre vie affective, c'est un changement de fond qui s'opère. Attendez-vous durant cette période, à être encore plus visionnaire, plus créative, peut-être plus rebelle... Et cette fois, vous serez plus efficace que ces deux ou trois dernières années...

Le hic, c'est que ça concerne un douzième de la population planétaire.Vous imaginez les records de productivité des années à venir. Gràce à l'efficacité régénérée de tous ces gens?

Ceci dit, je ne m'inquiète plus: 7 mois de libération, c'est quand même plus sympa que 7 mois d'emprisonnement. Même avec sursis.

lundi, octobre 23, 2006

Grand/petit

Une malicieuse blondinette qui se déplace avec célérité a, par sa question en apparence anodine (mais avec les blondes, c'est toujours du profond qui a l'air léger), soulevé un début de débat: C'est quoi un grand livre?
Alice 'en est sortie avec une pirouette humoristique, Cécile et Dochhd ont préféré, qui une pudique sensibilité, qui une liste passionnée, mais non exhaustive, et Arlette a le cerveau en ébullition.
Parce que cette petite-là, elle est très sensible aux mots. Elle n'y peut rien. Ils trottent tous seuls dans son cerveau en ébullition, et les absurdités, les contradictions de certains usages lui picotent les tempes.
Qu'est-ce qui est plus désobligeant? Se faire traiter de grand con ou de petit con?
Vous préférez avoir un grand copain ou un petit ami?
Un grand mal, ou des petits remèdes?
Une grande gueule ou une (belle) petite gueule?
Un grand malheur ou des petits ennuis?

Et des tas d'autres petites choses.
Qui me font dire qu'on ne doit pas galvauder les expressions. Parce que ceux qui les utilisent à bon escient font ensuite figure d'extra-terrestres.
Ou de réac du langage.

Grand/petit

Au coin (bis)


Voilà. Je suis au coin de ça. Et pourtant j'ai froid. Si vous saviez comme j'ai froid...

samedi, octobre 21, 2006

Moi, je lis, et vous?


Elles m'avaient dit: "t'as aimé les kangourous, mais celui-ci est complètement différent". Pas tant que ça. Le style, oui, mais l'intrigue avance et court, pleine de rebondissements. On est tenu en haleine tout au long du roman. Cependant, Claude m'a avoué: "oh, j'ai failli le laisser tomber quand ça a commencé à mal tourner, mais je ne peux pas t'en dire plus." En fait, il aurait fallu me reprendre le bouquin pour que je ne sois pas tentée de le finir. J'ai trouvé ça chamboulant.

L'histoire: deux journalistes baroudeurs se rencontrent au Caire, et quelques mois plus tard, les voilà mariés, propriétaires à crédit à Londres, et futurs parents. ça commence à déconner à partir de là. Naissance difficile, gros baby blues qui va jusqu'à l'internement psychiatrique de la mère, qui remonte la pente, mais découvre, au retour d'un enterrement aux Etats Unis que...et tout bascule. Je ne peux pas tout raconter. Mais l'auteur est américain, journaliste de surcroît, donc, on a droit au happy end. Et on se dit que ça ferait un sacré bon film aussi. Avec Clooney dans le rôle du journaliste. Et bien sûr Emma Thompson dans celui de la mère qui craque. Avouez que je leur mâche le travail, là côté casting.
Un seul petit regret: cette obsession de vouloir toujours comparer la mentalité britanique et la mentalité américaine. On sait bien que les uns sont de vrais martiens, et les autres des brutes sans éducation.
Allez, je vous fais le coup de l'extrait choisi: "Ici (en angleterre), la vie est perçue comme un triste gâchis dont il faut s'arranger. Pour nous (les US), elle l'est aussi mais nous arrivons à nous persuader que nous pouvons nous réinventer et, au bout du compte, apporter un semblant de cohérence à toute cette absurdité"

jeudi, octobre 19, 2006

Mauvaise anticipation.


Quand on est mère de Bambin, la seule chance de survie, c'est de savoir anticiper. Envie d'aller faire pipi? OK, mais seulement après avoir débarassé la table, vérifié qu'aucun stylo ne traînait à portée de menotte, que la cave est vérouillée, le lave vaisselle fermé...la liste serait trop longue.
Vous imaginez comme ça favorise votre vie sociale...
Là, pour le magnéto à cassettes, j'avais pas anticipé. Il était trop tôt, j'étais pas encore bien réveillée.
Dommage, c'était celle de la poupoune et du gram-groum.

Pour info, j'ai eu le devis de réparation du portable. Juste un tout petit moins qu'un excès de vitesse en ville...

En poche


Douglas Kennedy percutait un kangourou sur une route d'Australie.
Vatanen percute un lièvre sur une route de Finlande.
Ils sont tous les deux journalistes.
Ils décident tous les deux de changer radicalement de vie, et de partir à l'aventure, dans des contrées pas forcément hospitalières. A la différence d'Alice qui se languit de retourner au CHD, tellement le service d'étage lui a paru top. issime.
C'est un livre bizarre, mais qui ne laisse pas de traces indélébiles. Un genre de conte pour adulte. "roman d'humour écologique" dit la 4ème de couv. Humour, c'est usurpé.
Pour qualifier Vatanen, le héros, on aurait pu, à juste titre utiliser ce mot: d.j..t.
Vous voyez lequel?

Objet insolite


Bien malin qui trouvera! Même moi, je vois pas, c'est dire!

Pièce montée


Ce matin, j'ai parlé au téléphone. Avec Marie-Brune. 1h30 pendant laquelle Bambin a tour à tour hurlé, pleuré, gémit, tempêté...A force de ruse, j'ai réussi à m'échapper dans le jardin, le laissant derrière la vitre, ce qui a un peu amélioré le confort d'écoute.
Après des sujets très profonds, nous avons abordé le registre littéraire, en particulier "une pièce montée", dont BQMV (mais très très vite), vient de nous signaler qu'il a remporté de premier prix des lectrices de Elle. J'en connais, moi des lectrices de Elle. Y'a pas que des x-asses, loin de là.
Nous avons émis un pronostic: d'après nous, y'aura une suite.
Quelques années plus tard, Maddy va mourir. On va l'enterrer. Evidemment, y'aura les mêmes, à l'enterrement. Y'aura aussi la messe, le ptit tour au cimetière, et le cocktail après. C'est vrai, on ne dansera pas. Quoique, Maddy l'aura peut-être spécifié dans ses dernières volontés. Juste pour emmerder sa fille coincée.
Donc, Hélène aura-t-elle quitté son mari pour réaliser ses rêves? Marie aura-t-elle assumé son homosexualité révélée au mariage? Damien sera-t-il pour de bon casé avec une vraie belle moche? L'imbuvable Laurence aura-t-elle été touchée par la Gràce? Le frère mésallié-trou sur le prénom- se sera-t-il calmé? Vincent et Bérengère auront-ils divorcé? Bertrand verra-t-il toujours des trucs bizarres dans son église?
Avec un opus un aussi bien construit, je sens que la dame va exploiter le filon.
A moins qu'un autre ne lui pique son idée...
Thomas? Non, il l'avait trouvé AVANT.

mercredi, octobre 18, 2006

Là où je voudrais aller

Ce serait un endroit où il fait beau et chaud, mais pas trop, pour pas se faire du soucis à cause des coups de soleil, et pas être obligé de calculer comment tu vas t'habiller. Bref, si la température pouvait se régler en fonction que ce que l'on porte, histoire qu'on soit tout à fait bien, sans avoir dû prendre de décision avant.
Ce serait un endroit où les cons, les mal élevés, les bruyants, les vulgaires, les gnans-gnans et toutes ces engences pourrisseuses de vie n'existeraient pas. On n'y rencontrerait que des sympas intelligents, mais pas trop quand même, qu'on ne fasse pas de complexe d'infériorité, des beaux, mais pas trop, qu'on ne se sente pas trop moche à côté, des qui ont bon goût et surtout discrets, souriants, qui gagnent à être connus.
Ce serait un endroit où je serais chouchoutée comme quand j'avais 8 ans et que j'étais malade.
Evidemment, on verrait la mer de toutes les fenêtres.
Evidemment, ce serait une belle et grande maison de famille avec des amis sincères à l'intérieur, et juste ce qu'il faut d'animation pour que la vie s'écoule en riant.
Ce serait un endroit où on pourrait passer des heures à bavarder de choses profondes et légères. On n'y parlerait jamais de carrière, d'impôts, de tous ces sujets bassement matériels et tellement dégradants...
Il y aurait des enfants, un peu, mais spirituels et délicieusement drôles, obéissants et autonomes, responsables et rêveurs.
On n'aurait pas besoin de faire des heures de route, de vol, d'attente, d'embarquement pour y aller. On pourrait manger des tas de bonnes choses, sans craindre de se faire mal à la santé ni de ne plus rentrer dans son 12 ans.
On pourrait travailler si on veut, mais pour la beauté du geste. On n'aurait pas besoin de réfléchir en terme de positionnement stratégique sur le marché de l'emploi, ni d'écrire des lettres dans lesquelles on se vend comme une marchandise sur le trottoir.
On n'aurait jamais plus mal, nulle part, et on serait heureux de vieillir.
Je crois que je vais arrêter de rêver, sinon vous allez m'en vouloir. Parce que je suis sûre que vous vous y voyez déjà, vous aussi.
Voilà, c'est là que je veux aller.

Il y a quelques années, quand j'ai emménagé en ville, j'ai été abasourdie devant le déploiement commercial -de fort bon goût- autour d'Halloween.
Déjà, à l'école, on demandait aux enfants de se renseigner sur ce que c'était que cette "fête", c'est dire comme l'évènement faisait partie de notre patrimoine culturel...
Pendant deux ou trois ans, on a eu droit à du orange et noir, agrémenté de fausses toiles d'araignées. Partout. Même ceux qui n'avaient aucun intérêt à vendre quoi que ce soit en rapport avec la chose : les coiffeurs, les agences immoblilières, le club-house du tennis, la piscine, et évidemment, tous les particuliers qui trouvaient ça "beau" (du orange, non mais, je vous jure...) .
Et puis, miracle, ça s'est tassé. Aujourd'hui, à part quelques irréductibles qui ont manifestement des stocks à écouler, le orange n'est plus du tout dominant dans les vitrines malouines.
Il y a forcément une explication: les investissements n'ont pas été rentables? (Arlette, tu peux pas t'empêcher de faire ton analyse financière partout!), ou bien Mr et Mme Dulamba préfèrent-ils garder des sous pour s'offrir un magnifique Père Noel en plastique clignotant, avec sa paire de rennes qui chantent gingle bells accrochés au balcon?
Je le crains.

Jour de pluie

Je sens bien qu'aujourd'hui, il faudrait que je vous écrive quelque chose de drôle, fin et spirituel. Un peu acide et grinçant, mais souriant quand même.
Parce qu'il pleut.
Parce que c'est le 18 octobre.
Parce que les premières pubs de jouets de Noël sont tombées dans la boîte aux lettres.

Alors je vais aller lire les histoires drôles du blog à poteaux, m'éclater en faisant tourner le lave-linge, en épluchant des légumes, en jouant à faire 25 fois la même chose avec Bambin, bref, des trucs dont on rêve toutes.
Et ranger les courses.

Et puis, si vous avez des petites choses gentilles à me dire, c'est le moment.

mardi, octobre 17, 2006

Dans les mains expertes du hasard

Quand on roule dans le noir et que la radio ne capte plus rien, il faut s'en remettre au hasard: plonger la main dans la réserve à CD -normalement, c'est la main gauche, mais dans les cathomobiles, on utilise la droite- et se dire: quoi que je pêche, je l'écoute. Même si c'est les leçons d'anglais de 6ème.
J'ai pêché l'imprudence. (non, Alice, j'ai pas péché par imprudence)
Le conseil du chanteur: "laisse venir l'imprudence". Aussitôt, tu jettes un oeil au compteur de vitesse...
Et aussi: "laisse le vent du soir décider".
Heureusement, y'avait pétole.

Avec des conseils aussi avisés, je vais jamais m'en sortir, moi!

lundi, octobre 16, 2006

Frigo: une obsession familiale


Illustration d'un remède qui fait concurrence à celui préconisé par Rika Zaraï.

Projets de vacances


Bientôt les vacances d'automne. Et le temps des dilemnes. Bambin est invité chez ses grands parents. C'est une des raisons qui fait qu'il faut toujours chouchouter ses parents. Fils aîné a le choix: accompagner Bambin, ou accompagner Coach et Moussaillon à Maubuisson. Le paradis de l'optimist pour quelques jours.
Arlette aussi a le choix: rester à la maison avec Bonne Copine? Prendre un A/R Marseille et aller buller au bord de la piscine de Paula, en regardant LA calanque? Suivre les conseils d'Alice et descendre avec Moussaillon pour aller traîner ses guêtres à St jean de Luz? (pour Alice, c'est comme le paradis sur terre à l'entendre...)
Difficile de décider.
Et puis, Alice, regarde, on dirait Bray-Dunes!

Et vous, c'est quoi le programme? Un truc excitant comme la distribution des chrysanthèmes?

lendemain de régate


Moi, je préfère quand il gagne un vélo.

dimanche, octobre 15, 2006

Uniforme


Vous voyez les rayures de la dame? Hé bien, vous avez sous les yeux l'uniforme de cet automne-hiver. Ho bien sûr, il sera décliné dans des gris et noirs plus ou moins foncés, des rayures plus ou moins larges, des marques plus ou moins coûteuses, donc si vous souhaitez vous fondre dans la masse et pas vous faire remarquer, filez l'acheter (y'en a exactement partout. Ha? Vous l'avez déjà? ...) sinon...essayez, je sais pas moi, l'écossais orange et mauve?

samedi, octobre 14, 2006

Salon de l'électro ménager en vue?


On parle pas mal de frigo ces temps-ci chez Arlette. Après "Givrée" et une plongée dans le rangement de mon réfrigérateur, si vous avez le malheur d'avoir coincé votre radio sur France-info, vous ne pouvez plus ignorer qu'il existe des congélateurs un peu partout dans le monde.
Oui, cette histoire fait couler beaucoup de...salive, dans les salons de coiffure, par exemple, mais surtout, elle va changer nos vies.
Finie la possibilité de prendre un ou deux petits kilos mine de rien (ça doit être ma jupe qui m'boudine, réplique culte). Aussitôt, nos maris vont déployer les grands moyens. Examens complets, ma chérie je suis vraiment inquiet tu es toute pâle ces derniers temps...pour le cas où.
Je serais chercheur, j'inventerais tout de suite le test de grossesse en poudre à diluer dans l'eau des toilettes.
Histoire d'être sûr qu'on ne me cache rien.

vendredi, octobre 13, 2006

Une pièce montée


Un mariage. La messe, les photos, le coktail, le dîner, la soirée.
9 personnes racontent. La petite fille d'honneur, le prêtre, la grand-mère, la belle-soeur, le copain... Ils ont tous assisté au même évènement, leurs compte rendus devraient être identiques, mais leur histoire s'en mêle. C'est terrible ce que des petits faits peuvent cristalliser de souvenirs, de décisions, de réflexions...
Forcément, vous vous retrouverez dans l'un ou l'autre, voir plusieurs.
Messieurs, jetez-vous sur ce roman, après l'avoir offert à vos épouses.
Moi, ça m'a remué. Bon, il faut dire que je suis émotionnellement chamboulée ces derniers temps. Mais, je reste lucide. Vous aussi, vous aimerez.
L'auteur, Blandine Le Callet a mon âge. Si j'avais eu l'idée avant elle, c'est exactement ça que j'aurais écrit. Plutôt qu'une couverture, je vous ai scanné un extrait. Après l'avoir repéré, j'ai constaté qu'il était en 4ème de couv. Bien vu Arlette.
Ce livre, c'est Alice qui le voulait. Blandine L C serait-elle aussi sa cousine? Une blonde a sonné un midi pour me le prêter. Alice attendra encore bien qqs jours...
pour lire, cliquez sur l'image

Mot d'enfant

En terminant son dîner, fils aîné m'a dit, en râlant "mais maman, pourquoi tu me forces pas à travailler mon piano, ma percu et mon solfège"?
Il m'a interloquée.
Mais comme il faut toujours répondre aux enfants, j'ai dit "parce que je suis une mère démissionnaire". Et poète, avec ça.
Il a répondu: "démissionnaire? comme dans je vous emmerde?"
Voilà. Ecouter des chanteurs borderline comme Katerine dans sa cathomobile vous expose à des réflexions de ce genre.

Ceci dit, je vais noter sur l'agenda: forcer les enfants à travailler la musique.

Bonne nouvelle



Moi, je trouve ça super!
Ce qui serait encore mieux, de mon point de vue écolarlette, ce serait de pouvoir bourrer dans le réservoir de la cathomobile, tout ce que je mets à la poubelle chaque jour. Rouler aux ordures. Sans aucune taxe.
Et on n'aurait plus besoin de sortir les poubelles.
Ni de les rentrer.

Je vais reprendre des études. De chercheur.

Ma p'tite bibliothèque de détente



Il y a des jours, on a envie de lire. Mais pas de se prendre la tête. Sans aller jusqu'à se compromettre avec ML (qui n'est pas une mauvaise traduction d'un romancier kilométrique américain, je le rappelle, pour tous ceux qui le prendraient pour un auteur), on peut trouver des polars sympas, efficaces, et qui ne font pas de mal. Ni aux bras, ni à l'âme.
Lui, il a le vent en poupe en ce moment. C'est pas du Fred vargas, loin de là, ça rappellerait plutôt Mary Higgins Clarck, mais en mieux.
Donc, allez-y. C'est le 2ème que je lis. Le dernier vient de sortir. Du sang sur le green. Tout un programme.
Comme tous les écrivains, il a des tics. Par exemple, il a du fait du karaté ou un truc du genre. Y'a toujours un personnage qui te fait le coup de rétaler quelqu'un gràce à une technique vachement bien maîtrisée. Dans celui-ci, c'est un gentil. Dans "juste un regard", c'était un méchant.
Faut varier de temps en temps.
Sinon, on s'ennuierait.

Jour de chance


En montant dans la voiture ce matin, la radio. Sujet du jour: vendredi 13, jour de chance. Les buralistes ont ressorti leur belle-mère pour donner un coup de main à la caisse, et le chiffre d'affaire (CA pour bqmv) va exploser.
Du coup, après avoir fait mes petites courses de maman inactives (pinceaux n°2 et 16, plats 6 et 22, baguettes de xylophone et règle plate. pas trouvé cuvette ronde 25cm), je me suis dit: allons vérifier de visu. (j'ai pas mis d'accent exprès, c'est du latin in the texte).
Le premier tabac dans lequel je suis entrée ne proposait que des tickets à gratter. Mais le buraliste m'a très aimablement indiqué les sanctuaires du loto à proximité. J'ai pensé: zut, c'est pas mon jour de chance, mais persévérons. J'ai fait quelques mètres et saisi une grille. Heureusement, le mode d'emploi était indiqué en gros: commerçant prévoyant. J'ai sorti mon petit stylo, et pendant que Bambin suçotait une pochette plastique de Winx, j'ai coché mes numéros au hasard. C'était la première fois que je faisais ça.
Pourquoi? Même moi, je me suis posé la question. Et puis, il faut bien trouver une justification à un acte aussi absurde. Bon, je me suis dit que c'était l'occasion de vérifier que j'avais vraiment pas de chance en ce moment. C'est vrai quoi, si je perds, je saurai que ce n'est pas un hasard! C'est la poisse qui continue.
ça m'a quand même coûté 3 euros les 2 grilles. Quand je pense qu'autrefois (ma bonne dame), la grille était à un franc!
les enfants ont bien rigolé ce midi quand je leur ai avoué.

Blues

Ce matin, la maison était calme, je suis entrée dans ma chambre. J'ai tiré en grand les rideaux, ouvert la fenêtre et secoué la couette, pour l'étendre bien à plat sur le lit. Et je me suis dit: voilà les gestes que font les vieilles femmes veuves et dignes. Ces gestes quotidiens et machinaux, parfaitement inutiles, qui les rattachent à la vie et les empêchent de sombrer.
J'ai regardé l'heure, et comme Hélène dans "une pièce montée", j'ai calculé que dans 12 ou 13 heures...le tout étant de tenir jusque là.

mercredi, octobre 11, 2006

J'ai craqué


D'un côté, y'avait les paillettes staracadémiciennes, du silicone et des tas de machins plastifiés et brillants. De l'autre...ça. Contraste saisissant. Alors, bien qu'il n'y ait pas d'horoscope dans Télérama, ce qui est bien embêtant pour qui veut organiser correctement sa semaine, j'ai déboursé 2 euros (hé oui! la reine vaut au moins ça) pour acquérir la nouvelle formule.
Et j'ai compté pour vous: 8 pages de pubs automobiles dans les 38 premières pages. Je trouve que ça fait beaucoup. Contre seulement 1 pour le TGV, et 2 pour l'aéroplane.
Et une pub pour le tourisme dans...l'Aisne!
Hé oui.
C'est ça Télérama. De l'humour.

devinette de bon ton

Entendu récemment: pourquoi les femmes, sont-elles souvent en retard?

Parce que, contrairement aux hommes, elles ont toujours quelque chose à faire.

De notre envoyé spécial au coeur du nord

Un petit quizz pour voir si vous vous êtes bien imprégnés de culture locale. Pour les estrangers, par bonheur, il y a la traduction.
Oui, je sais, c'est quelquefois assez moyen, mais ça fera au moins sourire les expatriés.
C'est là. Clic.

Bientôt prête pour les championnats de scrabble


Depuis que les immatriculations sont passées à 3 lettres, c'est plus fort que moi, je lis toutes les plaques et je trouve des mots. Evidemment, toutes ne sont pas aussi claires et limpides que ces deux-là. Quelquefois, il faut se creuser la tête. Et rajouter les manquantes.
Rien que ce matin: AJX, CSG, BIB...
Allez, ne me dites pas que vous ne vous exercez pas, vous aussi.

Mon seul regret: je ne verrai certainement pas l'avènement des 4 lettres, une chance de moins d'identifier nnbb, gràce à sa voiture...

mardi, octobre 10, 2006

Mon tour d'horizon des revues de télé


P...! 2 semaines à voir traîner la même couverture aussi poor,avec le sourire pétassant de Beyonce. ça démarre mal.
Donc, je vais vous expliquer comment vérifier qu'un magazine s'adresse bien à vous. Facile, il suffit de regarder les pubs. Oui, je sais, d'habitude, on ne fait que les survoler, pour vite découvrir la palpitante grille de programmes ou des articles de fond, mais ça vaut le coup de s'y pencher.
Crédit à la consommation réponse en 5 minutes par téléphone?
Moquette en promo chez St Maclou?
Meubles en daube véritable chez Conforama?
Oui, c'est bien ce que je craignais...

Allez, je ne vous en veux pas. Même moi, je me suis fait avoir. Une fois.

Quand le chat n'est pas là...


...les chatons sont étonamment calmes, obéissants, disciplinés, pleins d'initiatives utiles. Ils se lèvent seuls et sans bruit, vont acheter le pain, vident le lave-vaisselle, ouvrent LE volet, petitdéjeunent autonomement, débarrassent, partent pour l'école, en reviennent (si si), et continuent d'agir comme en rêve.
Doit-on en tirer des conclusions?

Au coin!


Quand Bambin est trop pénible à table, il va au coin. Et il aime ça.
Les mains sur la tête, c'est venu naturellement.
Certainement un réflexe conditionné par des générations d'écoliers avant lui.
Ou bien une façon de résister à la tentation de grattouiller les écailles de peinture sur la porte.

lundi, octobre 09, 2006

Le diable et les Prada

Evidemment, on ne s'attendait pas à un chef-d'oeuvre. Mais on a été agréablement surprises par ce gentil film, qui préfigure la presse de demain: au lieu de tourner les pages d'un magazine, on aura...ça. La même chose, mais avec le mouvement et le son. C'est un film tout à fait regardable avec un très gros rhume, une espèce de mélange de Bridget Jones et de Sex and the city. Meryl est beaucoup plus humaine que ce à quoi on s'attendait, mais il faut reconnaître que les personnages ont à peu près autant d'épaisseur que leurs cuisses. Difficile donc de s'identifier, sauf au diable, et du coup, on regarde ça d'un oeil amusé et bienveillant.
J'ai pas pleuré.

Poisse quand tu nous tiens...


Je ne ferai pas de commentaire. L'image parle d'elle-même.
Propriétaires de twingos, vérifiez vos roues arrières...

Brunette: des conseils qui marchent

Sur les conseils de Brunette, j'ai investi dans une brosse à dents rose. Histoire de me la faire piquer moins facilement. Hé ben, ça marche! Bien que Champion ait fait sa valise pour l'écosse (je précise juste pour vous faire rêver: l'écosse en octobre, on se damnerait pour être à sa place...), ma brosse rose est toujours là.
Faut toujours écouter les bons plans des copines.
Bon, elle m'aurait dit orange ou mauve. Je me serais contentée d'écouter Sans passer à l'action.

dimanche, octobre 08, 2006

Les petites idées déco d'Arlette


Je songeais à ouvrir une rubrique "déco", en plus de la rubrique "cuisine" animée par Brunette et ses strudels diététiques. C'est chose faite gràce à un reporter à l'oeil particulièrement acuité, qui a sillonné la région de Carantec, à la recherche d'insolite.
Vous cherchiez une phrase sibylline à inscrire sur votre portail?
Prenez donc celle-ci. C'est pas de la haute philosophie, mais ça laisse la porte ouverte à toutes les suppositions.
Evidemment, faut avoir un chien...

Je suis malade


C'est parti. Je suis malade. C'est arrivé hier en plein milieu de l'après-midi. La tête dans l'étau, le nez en fontaine, la gorge qui appelle l'extincteur...Et pourtant, j'avais ressorti le col roulé et les chaussettes!
Heureusement, le soir, j'ai dîné avec plein de docs. Ce qui est bien, dans ces cas-là, c'est qu'on rentre avec une gentille prescription.
- oranges pressées
- tisane de thym
- matinée à la piscine
Apparemment, ils n'ont pas d'intérêts financiers dans l'industrie pharmaceutique.

samedi, octobre 07, 2006

Objet insolite ET coïncidences troublantes


Ce soir, j'ai passé un peu de temps dans une salle d'attente, ce qui m'a permis de lire Marie-Claire de Juin. Pour une fois qu'un magazine n'est pas périmé depuis plusieurs années...Et j'ai découvert ces chiffres étonnants, qui font suite à l'histoire du crapaud d'Anonyme. (le sujet portait sur la compétence exceptionnelle que possède le crapaud). Si vous ne devez retenir qu'un seul chiffre, c'est 95. Etonnant, vous auriez dit un peu moins?
95% des hommes adôooorent les dons exceptionnels des crapauds, en revanche, un certain Guillaume (à tous les coups un nom d'emprunt) affirme que 95% des femmes n'arrivent pas à la hauteur des crapauds. Il semblerait que ce Guillaume fonde ses allégations sur un échantillon non représentatif, ainsi que trop restreint pour pouvoir être digne de foi. Ou alors, il fait partie des 5% restants. Comme quoi, Marie-Claire, c'est fun. Et instructif.

Autre découverte: un magazine que je ne connaissais pas et qui me semble tout à fait intéressant: Technikart. Enfin, le numéro que j'ai feuilleté m'a plu. Je m'y suis bien retrouvée. Si un jour, je veux faire du journalisme (rêve ma poule), j'irai plutôt là que chez Télé Grandes Chaines. Foncez chez votre pressier, ou tapotez le lien ci-après: http://www.technikart.com/rubrique.php3?id_rubrique=21
et vous comprendrez pourquoi je parle de coïncidences. Enfin, si la photo insolite n'a pas disparu entre temps...
ça, c'est une couv du machin dont j'ai causé plus haut.

vendredi, octobre 06, 2006

Sur la voie de l'ascèse



A lui aussi, j'ai résisté. Je l'ai pris, reposé, repris, retourné, reposé...et je suis partie.
Après tout, je finirai bien par l'entendre, si j'allume la radio.
Tout de même, j'aurais bien voulu savoir si il nous faisait le coup de la saga, comme Martine.
Après avoir eu Vincent étudiant, Vincent amoureux, Vincent visite la France et l'europe, aura-t'on Vincent se marie? Vincent est papa? Vincent fait du camping? Vincent souscrit une assurance-vie?

Les garçons dans les cuisines


L'autre soir, les enfants se sont chargés du dîner.
Quand Gauthier a posé l'assiette sur la table (photo, là), je l'ai félicité sur l'effort de présentation, et l'originalité (du raisin dans les pâtes), mais lui ai fait remarquer qu'il s'était servi un peu trop copieusement (le lait vert, c'est aussi pour lui).
A quoi il a répondu: "mais c'est le plat-unique- pour tout le monde!"

On est 5, mon chaton...

Prendre une décision


C'est bien ce qu'il y a de plus difficile. Du moins, pour moi, en ce moment.
Alors, je m'entraîne sur des choses qui ne portent pas trop à conséquence. (correct cette expression? Mouais, à voir...)
En ce moment, on est dans cette période pas drôle où il traîne encore des restes d'été sur les étagères et aux porte-manteaux, sans qu'on se décide vraiment à les envoyer hiberner dans les étages. Comme si on voulait prolonger un peu, et ne pas plonger tout de suite.
Hé bien, j'ai sauté le pas. Oh, un tout petit.
Mais voilà, les sandales ont rejoint leurs boîtes, et les chaussettes sont plus que jamais d'actualité.
En attendant de prendre des vraies décisions.

mercredi, octobre 04, 2006

Entorse


...aux principes d'Arlette. Ce soir, en ouvrant le frigo, c'est le découragement qui m'est tombé dessus. Betteraves rouges-

concombre? Tomates-courgettes? Carottes crues? Sans parler du reste de chou-fleur trop cuit (juste au dessus des yaourts)...

Alors, au terme d'une réflexion douloureuse et d'un effort surhumain, j'ai appelé les deux affreux en âge de se promener seuls dans les rues de la ville, pour leur confier la délicate mission de rapporter des pizzas pour le dîner.

A voir leurs yeux émerveillés et incrédules, on aurait pu croire que je leur avais dit que je les autorisais à utiliser leurs économies pour s'acheter une game-boy.

Il ne leur a pas fallu 10 secondes pour enfiler leur veste. Et, comme par hasard, ils n'ont pas oublié leur clé.

Arlette, quand on voit ton frigo, on comprend que Champion adore partir en déplacement...

Je les ai.


Les voilà. Bonne Copine a bloqué son week-end. Reste plus qu'à réviser nos textes si on veut

chanter avec. (expression nordique)

Le coquelicot, je ne le connais pas encore bien. Tant pis, j'aurai pas 20 sur 20.

Et si un certain doc nous écrit le lendemain"topissime concert, n'est-ce pas Arlette, tu n'as pas chanté tout le temps et tu étais très discrète", pensant nous faire croire qu'il y était, il aura intérêt à nous prouver par des détails imparables qu'il était bien là ce soir-là, et pas rester dans le vague.

De toutes façons, Brunette a lâché son verdict: celui-là, c'est un vrai mythomane. Moi, je m'interroge encore...

Mon tour d'horizon des hebdos télé


Je ne sais pas vous. Phrase magnifique. Mais moi, je me souviens du lancement de "téléZ", le premier hard discounter de programme télé. Volontairement cheap, papier gris, peu de photos, noir et blanc de rigueur.
Mais, avantages incontestables, un prix défiant toute concurrence, qui évite d'avoir des regrets quand on le jette à la poubelle, ET une sobriété à toute épreuve. Parce que, ce qui nous intéresse, c'est le programme. Pas la recette anti-puces pour le chat diabétique.
Cette petite revue s'est imposée et je suis persuadée qu'elle est achetée par des tas de gens très bien. Arlette en était d'ailleurs une fidèle abonnée.
Vous allez me dire: les critiques doivent être à la hauteur du prix de vente. Hé bien, non. Pas du tout. Et même, la plume des rédacteurs semble assez impartiale. Pas achetée par telle ou telle chaîne. Sans pousser vers les émissions "faciles".
Ce petit "Télé Z", propose aussi des jeux -enfin des mots croisés qu'on peut faire en entier!-, des critiques de livres et de cinéma, une page sportive pas uniquement consacrée au foot, un horoscope évidemment digne de foi, les recettes de cuisine de Pierre Perret (ça compte), une BD et les célèbres histoires drôles envoyées par les lecteurs.
Gràace à leur humour, M. hennequin, Bernard athias et Maurice Ooghe (Pont à Marcq) doivent avoir déjà financé chacun une sympathique villa en corse.
A 0.35 euro, Télé Z, c'est pas pipole. Et j'aime ça. D'ailleurs, une fois mon tour d'horizon terminé, je crois que je vais replonger. Dans l'abonnement.
De toutes façons, je la regarde pas, la télé.

mardi, octobre 03, 2006

LIRE: le guide de la rentrée littéraire

Je vous recommande la lecture de cet opuscule à disposition du public à l'entrée d'une grande surface du support dit "culturel", ayant opté pour une signalétique rouge et blanche (nostagie suisse?)
C'est édifiant.
Les rédacteurs qualifient ces lieux de vente de "librairie", et de "libraires" ces vendeurs qui , lorsque vous réussissez à les alpaguer vous répondent invariablement "faut regarder dans l'ordinateur".
Et ben voilà. Je suis mûre pour écrire dans Télérama.

lundi, octobre 02, 2006

Envie



Evidemment, j'en ai envie.

Je l'ai retourné sous toutes les coutures, tout à l'heure, dans la boutique.

Et puis je l'ai reposé. Je crois que si j'attends un peu, j'en aurai encore plus envie. Ce serait dommage de rater ça.

Et puis, c'est bête, mais je me dis que forcément, on va me l'offrir. C'est pas possible autrement...

C'est pas bien de se dire des trucs pareils. C'est la meilleure façon d'être déçue.

Ma ptite critique littéraire



Une histoire d'une étrange beauté, une écriture aérienne, calme et délicate, dans la Chine de la fin du 17ème, mais d'une actualité et d'une universalité poignantes et bouleversantes.

Pour hommes et femmes. Adultes. Mais de préférence sensibles.

Pour les détails, m'appeler directement. Je raconte aussi très bien à l'oral. Même si je contrôle moins.

dimanche, octobre 01, 2006

Objet insolite


Etait-ce mon humeur désabusée, ou alors le manque cruel d'objets insolites? Ces derniers temps n'ont pas été fastes, dans ce domaine.

Enfin en voici un.

Un objet insolite.

Alors?

Retour de régate


Certaines régates sont mieux dotées que d'autres. Pour une fois, c'est pas une coupe qui va venir s'aligner sur la cheminée marbrée de Moussaillon. On va juste devoir faire de la place pour...ce magnifique vélo.
Bon, ça valait la peine d'aller se faire secouer à Boulogne aujourd'hui!

On a eu aussi un porte-clé.

J'ai retrouvé le sommeil


Ce problème crucial qui minait mes nuits et consterfligeait mon teint de rose fraîche, vient de se voir résolu en un clin d'oeil, gràce à l'inimitable Miss Figaro!
Hé oui: jupe boule ou bermuda, plus besoin de choisir. Voici le bermuda-boule. A 35 euros, ce qui est tout à fait raisonnable. Bon d'accord, c'est très moche.
Mais, c'est toujours comme ça, les compromis.


Mais que va en penser notre consultant mode aux initiales redoublées?

Météo


Malgré mes frissons matinaux localisés à la salle de bain, je vous RASSURE: il fait toujours l'été à Malo.

Les marchands de glaces continuent à faire du chiffre.

Arlette et le mondial de l'automobile


Fiat a racheté 29% du capital de Ferrari, ce qui monte sa participation à 85% dans le groupe. Autant dire que c'est la même chose, et donc, ma souris...
C'est certainement ce qui occupait l'esprit des 25 bonshommes disposés au tour du stand. Les 2 mannequines censées mettre en valeur la voiture n'y étaient pour rien. N'en déplaise à Alice.
Ce que le journal ne montre pas, c'est les outsiders.
Heureusement, quelques zarlette-addicts veillent.
Ceux qui ont de l'ingéniosité et qui n'hésitent pas à tirer un parti original de leur véhicule italien. Enfin, véhicule, c'est peut-être présomptueux. A partir de combien de roues (même pas motrices), un engin roulant est-il considéré comme un véhicule?
Deux questions, cependant: dans ce resto-route, peut-on fumer? et surtout: où sont les toilettes?