mercredi, mai 31, 2006

Objet insolite


Un nouveau concept de cave à vin?

Un cadeau de fête des mères en macramé (le fait main revient?)

Un maillot de bain JP Gaultier?

Un training pour puces savantes?

Un range-courgettes?

Mariage d'intérêt.


Quand les suédois courtisent le sentier...

Tiens bien ta forshed, mon fils!

Assez moyen Arlette. Besoin de vacances?

Boîte de 12

Depuis que Benabar, idole des trente-quarantenaires nous l'a mise en tête, je m'interroge: qu'est-ce que c'est que cette fameuse boîte de 12, qui nous semble si familière et évidente, mais néanmoins surgie d'un passé pas si lointain?

Je cogite, si vous saviez! En faisant mes courses, en rangeant mes placards, en épluchant les asperges...mais ça ne revient pas.

J'ai interrogé Bonne Copine, en priorité.
On a examiné des tas de possibilités, et on sèche toujours! On se souvient nettement en avoir demandé, des boîtes de 12. Donc, ça s'achète. Pas en libre service.
On a émis des hypothèses, en bonnes scientifiques: des trucs en latex? Non. Ces machins-là, c'est comme les collants, si t'es pas sûre de la taille, tu les achètes pas en grande quantité. Des Kleenex? Non plus, c'est par paquet, pas en boîte. Des remèdes pour lendemain de fête? Raté: en tube.

Alors QUOI? Des cigarettes? Des Petits Ecoliers? Des bonnets péruviens? Des blocs WC? Des crayons gris? Des stylos rouges? Des tubes d'arnican? DES OEUFS?

Aidez-nous! un point d'interrogation qui chatouille le cerveau du côté de la mémoire, y'a pas pire...

mardi, mai 30, 2006

Le jour du maman-burger


On connaissait le jour du Mange-poussin. Voici le mardi: jour du maman-burger.

C'est juste une stratégie pour éloigner les importuns.

Ou étendre les jambes au théâtre.

Le pain d'Arlette


Dire qu'Arlette est devenue la terreur du boulanger serait exagérer. Légèrement.
Intransigeante, exigeante et intraitable. Oui.
Envers cet aliment de base, qui ne supporte pas l'association avec des termes tels que congélateur, plastique ou trancheuse...

Depuis que j'ai poussé un cri d'horreur la première fois qu'on a approché ma miche de la machine à transformer le pain en minables tartines sans consistance, plus personne n'ose poser la question de la "coupe".
Ne vous demandez pas non plus pourquoi, mes baguettes à moi, on va les chercher derrière la porte, et pas sur le présentoir. C'est une question de température. Arlette a facilement froid aux mains.
En compensation, je suis une cliente fidèle.
Et je fais faire des sérieuses économies d'emballage à mes 2 fournisseurs préférés.
C'est gràce à moi que les forêts d'Europe pourront continuer à faire la joie des chasseurs, et des cueilleurs de champignons.

Maintenant que vous êtes prévenus, faites gaffe à ce que vous poserez à table, en ma présence.

Coup de soleil


Hier.
Après le déjeuner et le départ des écoliers, armée de mon café post-prandial au léger arrière goût vinaigré, j'ai tenu à souhaiter un bon anniversaire de vive voix à Marie-Brune. Cette dernière bullait étendue sur son lit (30° dehors, évidemment!), avec un roman prétexte qui s'est vite retrouvé aux oubliettes.

Associations de pensées? V'la Arlette qui se retrouve dans sa chaise longue. Quelques dizaines de minutes et de contorsions plus tard (pas lâcher l'engin, et surtout éviter de couper malencontreusement la ligne...), le pull s'était envolé, le pantalon idem, et l'installation terminée.
Après deux heures trente d'échanges intenses, Bambin s'est rappelé à mon bon souvenir assez judicieusement, car quelques gouttes commençaient à rafraîchir l'air ambiant.
Il a bien fallu couper là une conversation qui était encore loin d'être terminée...

J'aurais dû prendre une photo du reflet du miroir le soir. Juste pour démentir les plaintes des ménagères qui trouvent que la météo laisse à désirer.

Constance


Certains jours, les prises sont plus modestes...

lundi, mai 29, 2006

J'ai pas su choisir


L'entendre sussurer des histoires de garçons dans les vestiaires m'avait fait rêver. Au point que je m'étais aventurée dans ceux du club de judo, avec un prétexte futile de clé à glisser dans la poche de Grand-Gauth, pour être bien déçue: pas d'athlètes sous la douche, que des odeurs de chaussettes en plein effort.

Qu'à cela ne tienne: j'ai testé l'opus suivant: Joker

La fifille a grandi.
Elle nous raconte des tas de trucs rigolos, avec sa petite voix acidulée, qui fait un joli bruit dans nos oreilles et dans les mange-disque.

Les textes nous ouvrent de grands débats de société entre la maison et l'école de musique.
C'est ça le danger des mange-disque: les enfants écoutent les mots qui en sortent. Et ils posent des questions.
Arlette se régale dans les explications.

Je crois que mes fils ont de la chance: ils comprennent déjà très bien la psychologie féminine. Et aussi pourquoi, quelquefois, les mamans pleurent quand on leur offre des cadeaux.
Ou quand elles n'ont aucune raison de le faire.

Une fois de plus, j'ai pas su choisir. J'en ai mis deux. Mais toutes les autres sont très bien aussi.

Mère de moussaillon.


A l'instar des veuves de marin, (ou des femmes de golfeur), être mère de Moussaillon vous expose à passer vos tranches B privée d'une partie de votre famille: le moussaillon et le coach.
Reste: Gauthier-le-rêveur qui grasse matine comme un étudiant de 3ème année -à 12 ans, c'est inquiétant-, et Bambin-le-terrible que la pluie du matin ne saurait arrêter.

Après l'Ascension au pré du Hem (8ème, même pas de coupe), on garde espoir pour Le Havre à la Pentecôte. Comme quoi, les fêtes religieuses et la voile sont étroitement liées.

Ce qui est pratique, c'est que les Dunkerquois ont tendance à déménager vers d'autres ports (pourvu qu'ils soient pourvus d'industries lourdes et odorantes), facilitant ainsi le logement des régatiers, tout en entretenant des liens qui sinon, risqueraient de se détendre.

Quant à Arlette, elle a le choix entre jouer les pénélopes avec sa broderie, ou s'exiler chez papa-maman, histoire d'aller prendre la température du coeur du Nord...

Va donc te faire dorloter, ma petite!
et puis les grands parents sont des baby sitters en or...

Y'a des jours, vraiment...


et là, paf! On revient aux odeurs.
Chez Arlette, c'est la fête des sens.

Sans trucage, suffit d'ouvrir les yeux.
Une sorte d'ironie du sort, quoi...

Petite précaution ménagère

Quand vous détartrez votre bouilloire au vinaigre, n'oubliez pas de la vider avant de vous servir le petit café de 13h. Même avec du lait pour adoucir, ça arrache.

J'ai eu de la visite


Qui est passé à la maison ce week-end?

Elle exagère, la collection n'est pas complète.

Tours de piste


Attention, Alice s'entraîne.
Elle démarre très fort: conduite en ville sur route mouillée.
Elle aurait pu commencer par le parking de Champion un dimanche après-midi.
Si vous apercevez ce véhicule, tournez dans la première rue qui se présente, pour éviter de le croiser.
Elle cherche peut-être encore ses marques.

Enfin, elle a trouvé le bouton de l'essuie-glace!

Lendemain de fête


Quelques réflexions entendues au passage, ce dimanche:
"moi, j'ai eu mon croissant au lit. Je suis tranquille pour un an"
"je sais que de toutes façons, ils vont tous oublier. Pourvu qu'ils se souviennent de mon anniversaire..."
Bon anniversaire Marie-Brune au passage. Y'a vraiment que moi qui suive.
"qu'est-ce que je vais bien me sortir de la réserve à cadeaux?"
"moi, j'aurais pas dû regarder la télé avec mon mari: il m'a offert une rose en m'expliquant que puisque j'étais touchée par la bombe latine qui préfère une rose à une voiture, il fallait enfoncer le clou dans le sens des vraies valeurs non commerciales (et pas cotées en bourse)...et assumer: félicitations ma chérie"

Chez Arlette, vous admirerez le conditionnement précoce des petits garçons: on offre des bijoux aux dames. Et après, elles doivent les porter. Les bijoux. Pas les petits garçons.

samedi, mai 27, 2006

Viiite, des cassettes.


J'avais enregistré ça.
J' ai regardé.
J'ai aimé.

A la moitié du premier épisode, Champion a dit: "je me demande à laquelle tu ressembles"

Ai-je osé poser la question?

J'ai osé.

Le secrétariat d'Arlette


En ce moment, Arlette travaille.
Et fait attention de ne pas attraper des trucs en -ose dans le dos.

Parking de barbecue


Hé! Vous avez vu? Personne n'avait sorti son monstre plein de roues motrices, et pourtant, c'était l'occasion, dans les petits chemins de campagne autour de Beauvoorde...
Il faut croire que tout le monde se doutait que je guettais dans l'ombre, armée de mon canon.

En tout cas, Arlette apprécie cette délicatesse.

fidèle au poste


Info importante: je n'ai pas encore renversé. Et finalement, on se demande bien à quoi servait la poignée...

Panne d'idées


Lui, c'est Grand-Gauth. Mon bébé. Qui aura 12 ans samedi prochain.
Qu'est-ce qu'on peut bien offrir à un garçon de 12 ans, qui a déjà tout pour être heureux: des câlins à la pelle, des lunettes et un appareil dentaire?

Aidez-moi!

Une prothèse auditive?

vendredi, mai 26, 2006

Collection, quand tu nous tiens...


Un petit modèle tout à fait seyant, découvert non loin d'ici...

La prochaine fois, j'essaie de vous la faire avec Arlette assise sur le capot.

Mod'Arlette


Pas toujours évident de trouver Le chapeau assorti à l'étole. Heureusement, j'ai fait les boutiques àParis, avec Bonne Copine.
On a sélectionné quelques modèles.

En vue du vernissage de l'Opus Deux de Benoît.

Non, non, mes doigts n'ont pas fourché.

Arlette est une bonne petite ménagère


C'est vrai, votre Arlette a la chance d'habiter une maison autonettoyante-surtout le lundi après-midi-, mais elle n'en est pas moins une ménagère accomplie. Mais assez fantasque.

Le ménage programmé, c'est pas son truc, ça la bloque, même.
Mais, quand, au détour d'un escalier, l'envie la prend, alors, là...

Tenez, hier par exemple. En remontant une bricole au grenier, petit détour par la salle de bain des garçons, et paf! une envie irrésistible!
En sous-vêtements, j'ai attaqué la douche au vinaigre.
Résultat: va falloir baisser le store maintenant, on voit de nouveau à travers les parois.

jeudi, mai 25, 2006

Grande décision


J'ai décidé, aujourd'hui, de ne plus stocker mes restes de pain sec. Depuis la grippe aviaire, toutes mes copines qui avaient des oies et des poules d'agrément dans leurs jardins ont dû s'en séparer. Alors, à quoi bon?

Et pis, le orange dans ma cuisine, ça faisait moche.

Hé Arlette, arrête, tu te la pète. On sait bien que tu fais tes courses chez Champion.

Lapsus

Quelquefois, les lapsus contrepètent.

Bonne Copine s'adressant à ses glaces (fraise et pistache)
"arrêtez de ricasser comme des bécanes".

Faut plus regarder Turbo en boucle, quand t'as le blues.

Le voile enfin levé


Bravo pour ta perspicacité, Marie-Brune!
C'est vrai, y'a un truc!
Et pour te faire plaisir, j'ai rajouté des reflets dans les miroirs.

Ce qui vous manque, là dessus, c'est le son du mange disque.

Il disait:
"ne cherche pas, à vouloir,
arrêter le temps,
j'aime la beauté dont il te pare
et dont je suis l'amant,
si ton corps galbe cette jupe,
c'est mon regard que tu ravis,
mon âme que tu préoccupes,
et mon coeur qui crie merci"

Les mots du ptit Jamait, purs produits d'un esprit observateur, d'un excès de bière et d'un abus de clope.

C'est pour ça qu'on n'a pas mis nos serviettes façon pantalon!

Brunette et ses souvenirs de vacances.


Brunette est rentrée de ses -petites- vacances dans les Bouches du Rhône. C'est un département que j'aime bien, j'y ai quand même eu 2 enfants!

Evidemment, je m'étais décarcassée pour lui faire une liste d'incontournables: les navettes de la rue Sainte, les castel de chez Castelmuro (avec une boîte isotherme, ils supportent le voyage), l'huile et la tapenade du moulin de Mouriès...sans compter les suppions de Chez François, 25 av du prado, et les pizzas de Mario, pour frissonner, car tous les employés du restau connaissent vachement bien les baumettes.

Tout ça pour quoi?
Un chapeau de pluie rose, un maillot de bain petit bateau, et une glace dans un restau branché d'Aix.
Affligeant!

Brunette, je t'offre un stage de comment goûter la vraie vie, pour ta fête des mères.
Si je n'ai pas sombré sous la couette...

Le sac de patates, vous remarquerez, c'est pour donner l'échelle.

mercredi, mai 24, 2006

Des people chez Arlette


R2D2 est enfin démasquée. Je l'ai trouvée, gràce à Brunette, au détour d'une page "potins" de Glamour. elle a des copines bizarres, je trouve. Pas vous?

Jamait 2 sans 3.


Hier, c'était le jour des bonnes surprises.

En plein épluchage de cierges, Une Grise de Malo a sonné, son CD de Jamait à la main. Juste quand je venais de me dire qu'il faudrait quand même que je songe à l'acheter...
J'étais aux anges, et on a passé un moment sympa à papoter dans un endroit très confortable: l'escalier de l'entrée, sur le mètre carré de paillasson (le fameux et désormais célèbre).

A la sortie de l'école, lieu hautement stratégique, Cécile a dégainé du fond de son landau avec un grand sourire, le dernier Fred Vargas, et me l'a tendu. Pour moi! Chic alors...Parce que s'il fallait attendre qu'Alice l'ai terminé, maintenant qu'elle a compris qu'à chaque frisson St Gnou allait la rassurer...Et puis, j'étais pas toute seule sur la liste d'attente.

Le soir, au débarrassage de table, j'ai reçu un p'tit film pour vous faire sourire. Hé oui! Les cadeaux, ça arrive aussi par les fils d'ADSL! allez-y, cliquez là- dessus: WIZZ

Moi, trois par jour, ça me va bien.
Surtout si ça pouvait être TOUS les jours.

Je sais, faut pas rêver...

mardi, mai 23, 2006

Arlette et les salles de bain.


La salle de bain est une pièce que j'affectionne tout particulièrement, même en période de marche normale de ma chaudière. Je trouve qu'on ne lui rend pas assez hommage, car on y passe des petits moments délicieux, et on devrait y inviter ses amis plus souvent.

Chez Bonne Copine, la salle de bain, c'est tout un programme.
La taille déjà: on peut y valser à 10 ou 12, c'est dire.
Ensuite, la douche, copie conforme du Carlton, située de manière tout à fait conviviale, face aux toilettes. C'est à dire qu'entre le moment où vous ouvrez le robinet, et celui où l'après-shampooing a terminé d'agir, vous avez eu l'opportunité de bavarder avec au moins 3 ou 4 personnes différentes, confortablement installées face à vous. Hé oui! L'eau qui coule provoque toujours et à tout âge cette réaction classique (la même que lorsque je pénètre dans une cabine téléphonique: vive le portable).
Enfin, le stand maquillage et sèche-cheveux: ergonomie spéciale Bonne Copine et anti-Arlette.
Vous me direz: mais pourquoi anti-Arlette?

Ben forcément, c'est une photo truquée.

Ceux qui auraient l'intention de faire des remarques sur le fait que c'est une honte pour des mères de famille respectables de ne pas encore être prêtes à 11h20, sont priés de garder leurs réflexions pour leur belle-soeur.

Une idée de recette?


Hé, Alice, aujourd'hui, tu viens déjeuner?

Frissons extatiques


Examen de piano pour GrandGauth, hier soir.
On ne se faisait pas d'illusions sur le verdict.

En revanche, j'ai bien fait d'assister au commentaire des résultats par le jury:
"Gauthier, tu restes en cycle 1, bien que tu nous aies donné des frissons de plaisir, et que ton interprétation nous ait fait frémir".
C'est sûr, les gammes on ne les avait pas beaucoup entendues.

Tout le portrait de sa mère celui-là!

Continue mon grand. J'aimerais bien qu'on me dise merci plus tard pour tes frissons de plaisir et tes interprétations à faire frémir.

Arlette et Benoît: la rencontre improbable vue de la surface de la terre.


Improbable? En tout cas bien réelle, et racontée par Benoît, commentée par Bonne Copine...faut que vous lisiez ça...aussi. http://bruitdeshommes.typepad.com/le_bruit_des_hommes/
D'autant qu'il vous annonce la sortie du prochain pour bientôt. Je cherche déjà le chapeau pour la soirée de lancement. Au fait, comment ça s'appelle, un vernissage de roman?

Alors, Benoît est à Toulouse, pour peaufiner le n°2.

Moi, je lui lance juste une invitation: pour trouver l'inspiration du 3, met donc toute ta troupe dans le fourgon, avec les seaux les pelles, et les bottes, et branche ta boussole sur Plein Nord. On installera Zaza sur un transat entre Alice et Pupuce, et les p'tits cochons dans un trou devant la mer, avec des Malo, Guiguile, Gaugauth, Bambin... Pendant ce temps, je te montrerai, en silence, comment on marche sur la plage de Malo vers Bray-Dunes.
Sur les traces de Souchon, par exemple. Si la mer d'ici l'a inspiré au point de faire un tube, je ne vois pas pourquoi ça ne pourrait pas faire un best-seller. C'est Hugo qui serait bien content, pour le coup.
Une seule condition: je veux un petite place dans le bouquin. Que les copines puissent m'y reconnaître, tout comme nous, ici à Malo, on voit très bien l'Audi de son mari...mais la brune sous l'écharpe, j'ose espérer que ce n'est pas celle à laquelle je pense, parce que là, franchement, il me décevrait, l'ami Souchon. Il ne peut pas avoir mauvais goût à ce point!

Fête des mères en vue: la tranche B sera épaisse.


Je vous avais dit: je vais recenser mon parc électroménager. C'est fait.

Bilan: tout y est.

Je dis ça surtout pour prévenir toute vélléité de bris de tire-lire, suite à l'invasion des pubs sur le paillasson de la porte verte.

En revanche, j'ai profité du week-end pour faire une escapade dans une boutique spécialisée, et je me laisserais bien tenter par...une nouvelle planche de surf.

C'est vrai ça, ma p'tite planche bleue, là-haut sur l'image, vous commencez vous aussi à en avoir marre? Non?

Jamait est partout.


Dans le sonotone d'Arlette, dans son mange-disque et dans sa cuisine aussi.
Dans la salle de bain de Bonne Copine, dans sa voiture, et dans sa cuisine aussi.
Dans la dernière phrase du Bruit des Hommes.
Au Bar de l'Univers.
Dans une enveloppe en route pour Narbonne.
Sur la console blanche, prêt pour Brunette.
Dans les plans d'Arlette pour St Gnou.
Dans sa tête aussi, lorsqu'elle met une jupe.

Mais comment un si petit bonhomme, qui boit tant, qui fume tant, fait-il pour parler de nous aussi justement?

Ha, Ha! vous vous interrogez? Faut retourner au mange disque, et faire preuve d'un peu de patience...
http://www.jamait.fr/

lundi, mai 22, 2006

Alice et ses cadeaux d'anniversaire.


Hier, Alice a eu 39 ans. Et des cadeaux.
Evidemment.
Là, vous en avez un échantillon sur la photo.
On se demandait pourquoi après le passage des copines, même à l'heure du café, le saucisson avait diminué...
Séverine s'est insurgée, et a trouvé la cage antivol adaptée.
Pas sympa, Séverine, on va devoir se rabattre sur le frigo, et il n'est pas discret. Il fait gling-gling quand on l'ouvre...

A moins de venir avec ses propres provisions.

Nous, on a fait plus intello: un bouquin qu'on voulait toutes lire. Bientôt, la critique.

St Gnou, lui, s'est fendu d'un gros truc bleu-marine avec un GPS dedans.
Les zenfants, garez vos rétroviseurs, Alice change de cylindrée.
Hé, j'espère que ça compte aussi pour la fête des mères!

Lettres de château...

Quand on est polie, bien élevée et tout et tout, et qu'on a été reçue à dîner, goûter, dormir, siester, pastiser, danser...on envoie sa lettre de château.
Pour dire merci, évidemment.
Mais aussi dans l'espoir d'être réinvitée...

C'était ma lettre de château, collective, mais sincère!
Chacun en prend ce qu'il veut!!!

dimanche, mai 21, 2006

Cherchez l'intrus

Un petit détail nous indique qu'Arlette est passée par là...
Oui, mais lequel?

Objet nostalgique


Y'a des jours, vraiment, on se demande si les éléments ne se liguent pas contre vous pour vous faire croire au destin!
Tenez, hier, par exemple. On avait dit, avec Benoît, rendez-vous à la gare de St germain en Laye à 11h30. Comme la météo, c'était "passages nuageux et éclaircies avec risque d'averses", et que le risque était plus qu'avéré, j'avais décidé de l'attendre à l'abri. D'autant qu'à la gare de St Germain, il y a 2 sorties. Je limitais les risques.
J'ai branché mon sonotone, et j'ai attendu. Et j'ai commencé à le maudire. C'est vrai, ça, on m'avait pas encore fait le coup de pas venir m'attendre dans une gare, moi. Expérience nouvelle, certes, mais alors, pas émotionnellement satisfaisante. Du tout.
Je lui avais donné jusqu'à 12 h pile.
A 58, je me suis offert un tour en escalator, pour voir si le soleil était revenu, à la surface.
Et là haut, y'avait Benoît, avec son livre sur la tête (c'était le signal de reconnaissance, on avait trouvé que c'était mieux qu'un journal dans la poche), qui faisait la navette entre les averses et les 2 sorties depuis une demi-heure.

Ce matin, je suis descendue en chaussettes et en catimini (sorte de petit déshabillé tout à fait charmant), pour me faire un Nes en pensant...à l'anniversaire d'Alice, et j'ai pris une claque sur le coin de l'évier en remplissant la bouilloire.

Un objet surgi du passé.

C'est pour ça que les patates sont un peu ridées: elles sont cuites.

Bon anniversaire ALICE


Je mentirais en disant que ma toute première pensée, ce matin au réveil, a été pour toi. Mais disons que tu étais ...en bonne place!
Alors là, dans cette grande maison silencieuse qui grasse-matine tout son saoul, je t'envoie ma petite carte à moi.
Désolée pour l'illustration, je n'ai pas trouvé de jus de pamplemousse rose, j'ai pris ce que j'avais sous la main. Je t'assure que ce fut un exploit que d'en garder quelques gouttes pour après minuit, histoire de boire à ta santé le 21! Tu apprécieras l'effort! A sa juste valeur.

Bruit d'homme dans oreilles de femme.


Malo a 40 ans, une femme et 3 enfants, des potes inconditionnels qui répondent toujours présents, et un surtout, un job qui l'a fait avancer, vite, sans se retourner.
Malo a développé, créé, expérimenté, fédéré, monté une équipe solide, doublé-triplé ses chiffres. Il pourrait regarder sa machine tourner rond, mais non! Il a encore des plans en tête. Pour faire, mieux, plus, encore. Seulement, autour de lui, ça ne suit pas. Il a l'impression de ne plus pédaler à la même vitesse que le reste de la boîte. D'autant que son DG, un copain de promo, saute. Le président n'en veut plus. Divergences d'opinion...sur les investissements à venir.
Et Malo, dans tout ça?
Hé ben, Malo, il prend un coup. De pied aux fesses. ça le remue, même si il est un mec qui en a vu d'autres, qui a la tête sur les épaules, et qui a rarement perdu une partie d'échecs.
Alors, il remet ses pions sur l'échiquier. Lui, d'abord, le roi blanc. Et puis tous les autres.
Et comme les échecs, c'est pas le poker, il sait ce qu'il risque à jouer sa partie.

Aux échecs, Benoît, quand le premier pion a avancé, on peut plus dire "stop, j'arrête". On est bien forcé d'aller jusqu'au bout, non?

Moi, je crois que je préfère les jeux de hasard. Surtout dans le rôle de la petite bille.

samedi, mai 20, 2006

Le VRAI Malo...



Promis, promis, je vous raconte tout! Mais quand on prend l'apéro avec Benoît à St Germain, ça fait sauter le déjeuner, et on doit se rattraper au goûter, pour le plus grand plaisir de R2D2 qui va voir que je ne me dégonfle pas: les discussions littéraires à la blanche, ça creuse!

vendredi, mai 19, 2006

Objet insolite


odorant et divin!

Dépêchez-vous de trouver, y'en a presque plus...

Sieste copine


Arlette en vacances...c'est tout un programme! Et voilà où ça mène, les lendemains d'anniversaire: au lit!

Mais pour une sieste copine, pas coquine.

A quoi ça se voit?
Ben, fastoche! j'suis pas du bon côté, et pis vous voyez pas mes chaussettes, si?

jeudi, mai 18, 2006

38 ans, c'est pas réservé aux blondes


La preuve!!!

Le summum du bon goût


ça valait-i pas le coup?
Par chance, elle n'a pas spécifié que j'étais obligée de le porter tous les jours...

Merci Marie-Brune...continue à ne pas résister!

mercredi, mai 17, 2006

Philippe ou Patrick?

Au secours Docnnbb: ton Besson, c'est lequel, Philippe ou Patriiiick?

Bien fait!


Le problème des mange-disques, c'est que de temps en temps, on leur change leur disque. Et là, on est confronté à la vraie vie: celle qui sévit sur les ondes. C'est ainsi que j'ai appris que "Da Vinci Code-le film", avait été accueilli très fraîchement par la presse lors de sa projection à Cannes. Bien fait! Moi, je ne supporte pas audrey Tautou. C'est épidermique. Le casting est complètement raté. Ils auraient mis, je sais pas moi, Marie Drucker et Jeremy Irons, là, oui, on aurait eu au moins envie de regarder les affiches volontairement et pas détourner le regard de tous les Decaux. Un battage pareil, c'est louche de toutes façons.

Et puis la plus jolie, c'est elle. Là, sur la photo.

Encore une bonne action!


Ce matin, je suis allée faire le plein en Belgique. Et puis, j'avais une commande. En réglant mes achats, j'ai remarqué que le client précédent était parti en oubliant un billet de 20 euros sur le comptoir. N'écoutant que mon bon coeur, après avoir tapé mon code de CB (là, vous pouvez toujours vous accrocher pour l'avoir, même moi, souvent, je tremble de l'avoir oublié), je l'ai tendu à la jeune et jolie caissière en lui expliquant que comme personne n'avait écrit son nom dessus, elle devait profiter de ce pourboire inopiné.
Même si elle n'avait pas l'intention de boire.
C'est vrai, ça, avec 20 euros, elle peut préférer s'acheter un joli rouge à lèvres. Par exemple.
Ce petit épisode belge m'a fait très plaisir. Certainement beaucoup plus que si je les avais mis dans ma poche.

Et voilà!

A vos agendas!

Pour vous éviter de vous retrouver pris au piège comme les copains de Benoît, voici un petit rappel de dates à ne pas manquer dans les prochains jours.

Jeudi: Bonne Copine: cap de mi-vie.
Samedi: Mr Marie-Brune rejoint Benoît. Z'avez pas intérêt à vous manifester, y'aime pas ça.
Dimanche: Alice: se rapproche dangereusement de sa fleur de l'âge. Toute la ville est au courant. Demander à St Gnou de garder une bouteille au frais pour la fin de soirée, que j'ai le temps de rentrer...
Lundi 29: Marie-Brune. Là, on peut chanter en choeur.
...et janvier 2007: Arlette. Mais ne vous inquiétez pas, je trouverai bien un moyen de vous le rappeler d'ici-là.

mardi, mai 16, 2006

Paquet mystère: je lève une partie du voile


Evidemment, personne n'a pensé à cliquer sur l'image pour l'agrandir et regarder le cachet de la poste, qui, en plus de faire foi, donne parfois des indications de première importance, dans la résolution de ce mystère.
Maintenant que vous êtes retournés en arrière et avez cliqué, vous êtes comme moi: perplexe! Ben oui, on voit bien qui a pu envoyer ça, mais le sac Jennyfer rose agressif, ça cadre pas...

L'expéditeur se serait-il compromis à entrer dans ce genre de boutique? (quand on voit ce qui en sort, j'en doute...)
Hypothèse pire encore: l'expéditeur fréquenterait-il des clients de ce genre de boutique et auraient-ils des échanges suffisamment intimes pour qu'un sac Jennifer se soit égaré chez lui? Ou bien l'expéditeur aurait-il abusé de son Esparrou préféré en plein soleil?

Moi, les zenfants, je m'interroge gravement. Je me demande si je ne vais pas alerter les services sociaux. Y'a quand même des petits en danger dans cette histoire!

Joli sourire


Cette fois-ci je ne pose pas la question qui tue: qu'est-ce que c'est t-y?
Je donne la réponse tout de suite: le déjeuner.
Avant cuisson. Pas d'affolation.

Enfin Jamait!


Sur les conseils d'un fieffé égoïste, je me suis procurée Jamait. Comme pour Fred Vargas, autant faire dans l'ordre, alors, j'attends un peu pour les coquelicots. C'est pas tout à fait la saison.

Début d'écoute hier soir: ça part bien. Y'a des relents de bistrot de bord de mer là-dedans, mais les textes sont bien tournés et intéressants.
En plus, la première chanson parle de moi, c'est les mannequins de Glamour qui vont pas aimer.
J'ai eu raison de ne pas me presser.
Tout vient à point...mais tardez pas trop quand même!

Hé, bonne Copine, je te jure, je l'ai pas fait exprès. Une fois de plus.