Parfois, un petit grain de sable inattendu vient bousculer vos habitudes. Ce mercredi, c'était le départ des 4 jours de Dunkerque. Pas sympa pour les organisateurs de qualifier cet évènement sportif de "grain de sable", mais j'ai toujours trouvé que le cyclisme était le sport le moins sexy de PSF. (y'a ka voir la tenue et l'allure des sauterelles à vélo...)
Ce mercredi donc, au retour du tennis, on a décidé de prendre à gauche, pour une fois, l'itinéraire JPN. (c'est un code). Qui nous emmène sur le port est. Dans la zone industrielle. entre les poids lourds, les raffineries, les wagons plombés, les bassins de réparation...
Ce qui frappe d'entrée, c'est l'odeur. Il paraît que les goûts et les odeurs sont les deux stimuli qui évoquent directement, sans l'intervention du cerveau... He ben, ça marche.
J'étais revenue à Port Saint Louis. Alors, j'ai respiré en grand les bonnes odeurs d'industrie lourde, et, à 50 à l'heure sur les chaussées défoncées, je me suis laissée glisser.
4 commentaires:
c'est vrai qu'un maillot de bain et un bodyboard dans la main c'est vachement plus sexy que la combine de cycliste...
ironise, ironise...mais quand Arlette viendra te tirer des flots tumultueux de la Mer du nord avec son maillot et son bodyboard, tu seras bien content de retrouver ton souffle précieux à l'aide de ses poumons musclés plutôt que d'une pompe à vélo!
Le doc a déjà fait son argumentaire sur le vélo. Pas sur le cycliste qui roule à faible allure, à 1, 2 ou 3 de front, risquant un contact brutal et risqué avec un autre bipède motorisé. Et le plus souvent avec cet air plein de certitude du VRAI dans la pédale, et le cul moulé dans un lycra mettant en évidence (dans le rétroviseur du bipède motorisé) sa p'tite zézette de toréador...
Non, me demandez pas ce que je pense du vélo et de l'artiste qui le chevauche, je pourrais ne pas être courtois.
Par contre Arlette de Malobu, si je me noie, viens vite me sauver... avec le massage, la respiration artificielle et tout et tout.
Le doc a déjà fait son argumentaire sur le vélo. Pas sur le cycliste qui roule à faible allure, à 1, 2 ou 3 de front, risquant un contact brutal et risqué avec un autre bipède motorisé. Et le plus souvent avec cet air plein de certitude du VRAI dans la pédale, et le cul moulé dans un lycra mettant en évidence (dans le rétroviseur du bipède motorisé) sa p'tite zézette de toréador...
Non, me demandez pas ce que je pense du vélo et de l'artiste qui le chevauche, je pourrais ne pas être courtois.
Par contre Arlette de Malobu, si je me noie, viens vite me sauver... avec le massage, la respiration artificielle et tout et tout.
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