mardi, novembre 30, 2010

Un écran plasma dans mon salon


Je suis abonnée à la chaine "Bricolage et jardinage". Photo prise lors de l'émission: hiverner sa bétonnière.

Sa première Cabane Magique




Transmettre


Nous deux


vendredi, novembre 26, 2010

Arlette est toute joyeuse!

...c'est un weekend avec EUX!
J'ai préparé mes bottes, ma moumoutte et mes gants.
Paraît qu'il neige, là-haut!
Je me prévois encore des beaux retards d'avion...allez, hop! je ferai provision de bouquin à l'aéro-librairie!

mercredi, novembre 24, 2010

Arlette lit" Elle"





hé, oui. Mais pour raisons professionnelles...alors quand c'est pour le boulot, hein...
Les journalistes de Elle ne racontent pas que des conneries. Elles sont aussi très lucides et font des bonnes analyses. Et des mises en garde.
Chez Elle, tout est bien qui finit bien!

mardi, novembre 23, 2010

Un interrupteur surprise


L'avantage des maisons en location, c'est qu'on expérimente des trucs qu'on n'aurait jamais osé imaginer...Franchement, moi, je me voyais pas un jour faire dormir mes enfants dans les décors d'Emmanuelle. Même si on n'a pas le fauteuil ad-hoc.

Duel sanglant

Dans son album photos



Au pied de son lit

Les petits trésors de mon trésor

Arlette reçoit ce soir

Premier habitant


En quelques jours, il a perdu un mètre d'altitude et parcouru 5 en distance. Calculez la pente du toit, et la vitesse moyenne de progression du gecko en descente.

Angry bird version papier

Arlette bobo malgré elle

Ingénieur hydraulique ou récupération des eaux gouttantes


Bureau d'une fille de 13.5 ans

Seau-lution d'attente

Les poussins se déchaînent

vendredi, novembre 19, 2010

Chamboule-tout


On a beau être dans les alpes maritimes, en novembre, quand on débarque sur un chantier sans fenêtre à 19h, en sortant de la chaleur douillette du bureau, relayée par la voiture, et qu'il faut enfiler sa tenue de combat, légèrement gagnée par l'humidité du soir, le tour, à la lumière de la lune et de la frontale...il faut une bonne dose de courage, pour rincer le rouleau à l'eau froide, et escalader l'échafaudage.

Levier de vitesses

Arlette fait ses courses sur le bon coin


Faire ses courses sur le bon coin, c'est tout une aventure. C'est ma copine Steph-du-hamman qui m'a donné le virus. Du coup...c'est devenu une grande histoire, nous deux.
J'avais repéré cet ensemble table haute plus deux chaises déhoussables à 35€. M. Arlette a dit oui. Seul hic, c'était à Vallauris. Snob comme pas deux, je lui dit "mon chéri, tu veux pas m'accompagner...? Vallauris, ça craint..." Démerde-toi, m'a-t-il répondu.
Bravement, je me suis lancée. Et puis, ben, comme d'hab, ce fut une vraie bonne surprise. Une résidence calme en plein coeur du vieux village. Des gens charmants, dans leur coquet petit appart. Et tout ça est rentré sans faire d'histoire dans ma souris.
Voyons un peu...qu'est-ce qu'on a maintenant pour 35€...5 paquets de clopes? un déjeuner au restau avec le café et le dessert? 1/5ème de paire de ballerines Repetto?

Le musée des horreurs


Au fond du coffre de voiture, un petit musée des horreurs. Tout y est. Le tricotage au crochet, activité popu s'il en est une, à l'opposé du point de croix de nos après-midi BCBG, les couleurs chiottes, dont on se dit que les pauvres gamins qui ont porté les pulls tricotés par mémé et dont les restes ont fini en couverture, n'ont même pas eu la chance de figurer au casting de la guerre des boutons.
MAIS, pour transporter les poubelles, le carrelage, les parpaings, les sacs de ciment et tout le reste, c'est vachement utile.

Et là, vous allez faire: NOOOOON!


SI.
Bon, il était impec.
55€.
La housse blanche arrivera pour Noël a dit le père Noël.

On nous a livré la table de salon

Arlette a une araignée au plafond


Fusée à eau


hot.

Arlette mange pa-sher


déjeuner de chantier.

lundi, novembre 15, 2010

Avis de décès

J'avais un PC portable, que mon mari de l'époque m'avait offert. Il est mort. J'apprends à m'en passer. Ces choses-là, ça ne dure pas!

Sous les pavés, la plage.

Des trucs qui restent

Quand j'étais en prépa, une "camarade de classe" m'avait prêté "Le deuxième sexe". Je ne le lui ai jamais rendu. Parce que ce bouquin était long à lire et, il est vrai, un peu chiant. Autant j'avais dévoré les mémoires d'une jeune fille rangée, que ce deuxième sexe m'avait paru rébarbatif. Alors, de fil en aiguille, les concours étaient arrivés, puis les vacances, et les essaimages chacun de son côté.
Je ne me souviens plus de son prénom. Mais je revois son visage. Elle était roux pâle, avec les cheveux très gras et beaucoup de boutons. Ses parents n'étaient pas très aisés. On avait dû ruser pour lui trouver une tenue qui pourrait faire l'affaire aux oraux, dans un budget ridicule. Et puis, elle avait dû repartir en fac, parce que l'école qu'elle devait intégrer coûtait trop cher.
J'ai toujours son bouquin. Je lui rendrai un jour.

Objet insolite

A la pause


...on fait le point.

Des signes...


...qui ne trompent pas.
L'île est habitée.

Bon weekend Arlette!

Le ponton

Tous les visages d'une région


Quand on vous dit Alpes Maritimes, vous voyez aussitôt la débauche Cannoise, les festivals, les décapotables, fourrures champagne à flot, yacht et tutti quanti.
Quand je conduis des enfants un dimanche de Novembre à un rendez-vous d'anniversaire et que j'aperçois sur le rond point, un petit camion à ridelles, chargé de bois et de caisses d'olives, je reprends confiance. Il y a aussi des vrais gens qui habitent cette région. Des vrais gens qui, à l'image de Philippe et Mireille, vous apportent les kakis "du terrain qu'on a en bas à la route".
Et vous savez quoi? Ces fruits ont un goût merveilleux. Celui du partage et de la générosité. Gratuite.

Comment fabriquer une grotte préhistorique en un après-midi

Awalé pour famille nombreuse

Jeu de dames

Rue de l'hôtel Dieu


Ce matin là, avant l'ouverture conjointe de la poste et de la banque, j'avais du temps.
Je suis entré chez lui. Celui de la rue.
On a papoté un peu.
Un monologue en fait.
Il était pressé. Il avait pas trop de temps pour moi.
C'est une denrée rare, le temps.

Une table qui se volatilise


Par le passé, j'ai cédé à la tentation d'un petit guéridon de marbre et fonte comme celui-ci. Tant bien que mal, il a séjourné à Martigues, puis Ensuès la Redonne, puis Malo. Moi, bêtement, je pensais que le marbre et la fonte étaient faits pour durer.
Quand j'ai dit "je voudrais bien récupérer ce petit guéridon au plateau cassé", on m'a répondu "qu'il avait disparu sans qu'on sache ni où ni comment".
Comme quoi, les pluies acides des usines du nord font plus de dégâts qu'on ne croit.
Alors, maintenant, je rêvasse sur la possibilité des chaises qui l'accompagnent. Je me dis qu'elles seraient à leur aise sous un olivier, négligemment abandonnées. Et ces petites pensées honteuses car s'apparentant à de la convoitise purement matérialiste m'aident à reprendre le rouleau quand la fatigue et le découragement se font sentir.
Et ça fait de mal à personne.
De rêver un peu.