vendredi, février 15, 2008

jeudi, février 14, 2008

dites-moi où, en quel pays...


Elle trace sur le front de son garçon un pauvre signe de croix pour le garder du mal...et sa main s'en va comme un voile.

Idée cadeau


Le soin Toi et Moi. Espérons que, comme dans les restau, y'a pas les prix sur la carte de Madame...Une heure 30 de félécité à ...6 € la minute, zavez pas intérêt à carburer au gasoil.
Ceci dit, je suis sûre que certaines, rien qu'à l'énoncé du prix, sont déjà au 7ème ciel. Et pour ce prix-là, est-ce qu'on peut boire l'eau du bain? Non? C'est facturé en sus? Ha....

Gare à tes fesses!


C'était, en quelque sorte, le résumé de la prédiction d'un lendemain de baptême de squash. (4 de ds la même phrase. Bientôt le bottin, Arlette!) Je vous passe les détails, les préparations de coup droit-revers qui vous font louper le petit bazar noir qui s'écrase au sol entre vos chevilles...Mais conclusion: je dois pas être conforme (une fois de plus). Le torse et les bras en compote, c'est normal, ça docteur? non non, non, personne ne m'a rouée de coups cette nuit...

So what?

Un bon remède anti-escarres.

Arlette fait du sport


Alice m'a fait saliver d'envie, avec ses photos de club med. Du coup, ça m'a donné des idées. Je m'entraîne dans ma maison, en attendant la neige...ou la crue de la baignoire.

Hep! Alice, moi, j'ai réussi à sortir de l'eau du premier coup. Mais quand l'aspirateur s'est emballé et que mes lunettes épluche-oignons se sont accrochées dans la corde à linge, j'ai déchaussé.
Pas facile, le ski de carrelage, quand on s'est pas entraînée...

Besson et Dubois.



Ou comment faire rougir qui a couché déjà des mots sur le papier.



Petites réflexions sur l'écriture



De la boulimie de lecture à l'écriture, il n'y a parfois qu'un tout petit pas. Que, lors de crises d'inconscience suraigüe, on se laisse aller à franchir. Pour aussitôt le regretter. Evaporées les vapeurs étourdissantes, la production déposée sur le papier vous fait monter le rouge aux joues. Une bouffée de chaleur, un instant de honte vite oublié, mais qui laisse une infime trace. Malgré tout. Puis une boule de papier au fond de la corbeille, un regard en coin sur la pile de livres, promesse de moments de plaisir solitaire, et balayage de ces vélléités.


B, mon ami l'auteur, je t'admire. Tu t'es lancé. Avec modestie, mais foi et en y croyant. Une aventure nécéssaire. Une sorte de double de toi. L'écrivain, celui qui bouillonnait sous le costume du cadre dynamique. Impliqué, motivé, nezdansleguidonné. Et pourtant tu savais que tu porterais aussitôt le flan(by?) à la critique. Combien, qui comme moi, lorsque je surfe sur les blogs des uns (unes! surtout! faut croire que les vélléités écrivainesques sont essentiellement féminines...) esquissent des sourires méprisants à la lecture de lignes maladroites, emcombrées de la fatuité du débutant qui, croyant maîtriser la métrique, se lance dans des tirades enflammées, dithyrambe et versifie?


Entre deux cafés ce matin, j'ai lu Mme Figaro. Guêpière de 14 février, interview d'EES, et...fragments du corps amoureux. En vrac ci dessous. Ou dessus. Au choix. ça saute aux yeux. Celle dont j'ai pudiquement masqué l'identité fait pâle figure à côté d'un Besson ou d'un Dubois. Pourquoi? Pourquoi tant d'injustice? Pourquoi certains illuminent quand d'autres éteignent et font soupirer?


Pourquoi?

Panne d'idée pour St Valentin?

Arlette à la rescousse! Et si vous faisiez comme le monsieur, là, dans la vidéo?
une déclaration...

s'cuserez les mots au milieu...je retrouve pas ma gomme!

Pour qu'on sache de quoi qu'on cause

Conversation


Qu'est-ce que tu fais?


Je te regarde vivre, a t-il répondu.

mardi, février 12, 2008

Where is my mind?

Sourire d'ange, une reprise qui vaut le détour. En boucle. Plus sympa à regarder que Franck...

Détour de derviche


mais moi quand je tiens, là dans mes deux mains éblouies, les deux jolis petits seins de mon amie, là je dis rien, rien, rien, rien ne vaut la vie....

Et si le secret, c'était ça?


Apparté

Et qu'est-ce qui prouve que t'es une vraie blonde?
J'ai un certificat.

Sur l'écran du sonotone.


Il remue pas mal, il transpire beaucoup, il se maquille l'intérieur des yeux pour accentuer son côté foldingue, il se tortille bizarrement, il ose convier une altiste (blonde) sur scène, il duette avec Miossec, il vaut le détour. Quand je pense que je le trouvais énervant...

Si il vous rend visite au Kursaal, n'hésitez pas. Cali. Un peu démonstratif, mais vivement écorché.

J'ai lu ça.


Pour le train, la plage, ou un trajet en voiture, en alternance avec la carte Michelin, pour se rendre au déjeuner annuel chez Tante Angèle. Sur un canapé, en suivant la conversation dans la pièce voisine. Ou tout simplement quand la tête devient lourde.

Ma ptite bibliothèque


A l'ouest. Expression qui fut à la mode pour désigner quelqu'un d'un peu différent. Se dit de quelqu'un qui a perdu le Nord. Par exemple. No identification, moi, j'ai gagné le Sud.

A l'ouest laisse un gout bizarre dans la bouche. Une sensation éthérée. C'est maintenant ici, et puis complètement ailleurs. Des mots qui déclenchent des images. Qui rappellent l'ambiance d'Alphonse de Tadjik, D'ailleurs, je ne vois pas pourquoi à l'ouest. Moi, j'aurais dit Sallaumines. Ou Courcelles les Lens. Au choix.

Tease


What is it?

Je vous pose la question à la Benoît:

a/ une école communale qui n'accepterait que les filles des triplés
b/ un institut spécialisé positionné sur le même segment de marché que les fournisseurs de faux cils à la gay pride
c/ une pièce de théâtre (featuring JB Poquelin?)
d/ une bonne idée.

Quand ça commence comme ça...


Le Titre? Je, François Villon.

Dochhd m'avait écrit: lis ça.

Cécile a renchéri avec un simple " c'est une petite merveille".

Je, l'ai trouvé.

De la poésie, mes zamis. Pas des phrases à faire beugler Lara Fabian (je l'aiaiaiaimeuh-euh...à mouriiiiiiiir, mon amor m'a tuer-er-er...). Du lourd. Du qui conte pas fleurette.

Tonitruant.

Je me lance.

vendredi, février 08, 2008

Vacances


Vous vous apprêtez à partir? à rester? Pensez à notre pauvre Alice qui s'apprête à...rentrer! J'aurais aimé être une petite souris dans sa poche pour l'entendre éclater de rire chez Gilbert. Ou alors c'était Gérard?

Pour dire des trucs pareil, Arlette, tu ferais mieux de te taire. T'es en panne d'inspiration, ma vieille...

mercredi, février 06, 2008

Cadeau du matin


Arlette et ses romans photos


Tour de clé. Grincement. Petite exaltation: le courrier. Chaque jour, une bonne résolution non tenue. Quand on mesure le plaisr de recevoir une lettre, on devrait commencer par en envoyer soi même plus souvent. Et puis, vous savez ce que c'est...on peut quand même pas carburer à la coke pour être au top de l'effficacité toute la journée.

Café. Jambes étendues au soleil. La pub Carrefour. Non, non, pas direct au sac de recyclage. Se documenter. Se frotter à la vraie vie. Celle qu'on ne voit pas dans Glamour ou Mme Figaro. Et découvrir qu'après les galettes, les crêpes, et avant les oeufs de Pâques, il y a la Saint Valentin.

La Saint Valentin, pour celles qui l'ignoreraient, c'est le jour où vous devez sortir votre guêpière rouge et noire, vos bas résille-et-couture, vos talons aiguilles, vous maquiller comme un camion volé, et attendre que votre chéri vous tende, au dessus de la table du petit restau romantico kitch avec violons zintégrés, une boîte en forme de coeur, rouge si possible. Vous vous prendrez alors l'air de tomber des nues, et vous direz d'une voix naturelle: Oh! C'est pour moi? Mais qu'est-ce que ça peut bien être? N'oubliez pas de frétiller. (non non, pas le presse purée électrique dont vous rêviez).

Voilà. C'est ça la Saint Valentin.

Alors, pour celles qui ne seraient pas encore équipées, Carrefour vous aide. 4 doubles pages de lingerie. De quoi faire un joli cadeau à votre valentin. Parce que au final, qui en profite, du petit ensemble sexy à 29,90? Vous, qui attrapez des allergies et des rougeurs avec les dentelles-poly-éthylène qui scient et qui grattent? Non, lui. Qui peut se rincer l'oeil et les arracher sans arrière pensée. A ce prix-là, ce serait dommage de s'en priver.


Et vous, vous la voyez comment la Saint Valentin? Hum? Serais curieuse de connaître votre avis sur la romantco-commerciale question..

lundi, février 04, 2008

Nostalgie Canavalesque


Quand arrive février, les effluves de carnaval viennent vous titiller, où que vous vous trouviez. ça commence par un oeil au calendrier: ce matin, j'ai tourné la page. J'ai lu "cendres". J'en ai aussitôt déduit mardi gras-bande de DK-citadelle Rosendael et Malo dimanche prochain. Ajoutez à ça, un sonotone qui vous balance tout seul le ouchchouche entre deux chansons sérieuses, et l'allure des vieilles peaux méridionales, qui assortissent la couleur de leurs cheveux à leurs bodies léopard, et il n'en faut pas plus, non, non, pas plus, pour déclencher le petit sautillement (rélafalalasidoré, rédosilasilasolfamifaré, rélafalalasidoré, rédosilalalalasidoré merci de jouer tout ça en ré maj).

le Carnaval, c'est pas le défilé pour touristes, jets de fleurs et folklore que fram-tour promet de vous faire découvrir. Rien à voir. Comme le dit Sylvie Testud dans l'excellent (mais pas pour les zenfants) film Karnaval.

Moi, je dis excellent, parce que j'y ai retrouvé les "lâchages" dont les philosophes nous expliquaient qu'ils n'avaient lieux que dans deux moments dans la vie d'une société: la guerre et le carnaval. Comme j'avais envie de voir ça, sans pour autant apprendre à slamommer entre les balles, ben, me vla servie. J'ai touché du doigt la fonction sociale du carnaval.

Alors, vous, les ceusses qui ont révisé leurs chansons, qui ont préparé leur chapelle, je vous souhaite d'en profiter un max.

Pour les z'ôtes, ya toujours moyen d'aller piocher des idées sur mincoin.free.fr

vendredi, février 01, 2008

Jachère express



Faut croire que la formule ressert chaque année...

Anonyme/ Anne Onyme/ Ha! No Nyme!

Je reçois ce matin des commentaires d'une "autre amie catho". Commentaires peu flatteurs. Punliés sous couvert d'anonymat. Ce qui appelle forcément une réflexion, sur la question de l'anonymat.
Qui sont les anonymes?
Sur ce blog, il y a "anonyme-clin d'oeil " dont elle sait que je sais qui elle est.
Il y a eu "anonyme" pilote de circuit, dont le style inimitable ne pouvait laisser planer le doute. Il y a eu Anne Onyme, oenologue émérite, que je salue au passage. Il y a eu des anonymes de passage, qui n'avait rien de spirituel ou d'intéressant à dire. Les vrais anonymes.
Il y a eu "ma très chère amie catho", qui n'est pas celle dont au sujet de laquelle je croyais qu'elle était.
Il y a " une autre amie catho", qui ma foi devrait demander pardon dans sa prière du matin, pour ne pas avoir su assumer la paternité de ses réflexions, et si possible, dans sa prière du soir, demander au Seigneur qu'il lui donne le courage de ne plus se laisser tenter par la solution de lâcheté.
Il y a eu un "anonyme" dont je n'ai pas publié tous les billets, car ceux avaient le parfum haineux, la classe et la grandeur d'âme de celui qui se cache derrière le paravent de l'anonymat.

Anonyme, a-nonyme: qui n'a pas de nom. Qui n'a donc pas d'existence sociale. Qui n'est pas digne d'exister aux yeux des autres. Qui ne se sent pas digne d'exister. C'est ce que l'éthymologie du mot m'inspire.
Quand à ce que la pratique révèle de la personnalité de celui qui y a recours, je vous livre mon sentiment en quelques synonymes: bassesse, vilennie, mesquinerie, petitesse...
Les anonymes (comme les corbeaux), sont bien souvent des gens qui par ailleurs présentent un tout autre visage. Dont on a peine à croire qu'ils puissent s'abaisser si...bas!
Railler, insulter, blesser sous couvert d'anonymat est inexcusable. Tout simplement parce que notre Humanité, notre conscience est le filtre qui doit nous en préserver.
Tout comme je me refuse à penser qu'il puisse y avoir des raisons au racisme, à la xénophobie, à l'intolérance en général.

Alors voilà: j'ai décidé de ne plus publier les réflexions désobligeantes. C'est ma liberté de ma presse à moi que j'ai et que j'exerce. Arlette, c'est pas un lieu de règlement de comptes. Si vous voulez m'écrire des choses blessantes, faites-le par l'intermédiaire du profil. Et osez le faire sous votre propre e-mail. Pour le reste, je ferai comme quand je passe devant un clochard: j'encaisserai le coup et je me dirai "dans quel monde vit-on! " et j'aurai une pensée émue pour feu mon grand-père dont c'était l'expression quasi favorite.
Hop! C'est dit. On n'y revient plus.