mercredi, février 25, 2009

On ne vit que 2 fois


Il s'est lancé dans l'éducation cinématographique d'Arlette. J'en suis à mon 3ème James Bond, et j'adore ça. Je me marre, parce que je trouve ces films cocasses. ça l'a étonné, parce qu'il paraît qu'on n'est pas sensé rire, devant James Bond. Moi, je ne vois pas ce qu'on pourrait faire d'autre. ça doit être ma culture bédéesque qui ressort...
Rassurez-moi...vous aussi, ça vous fait marrer?

Comme les doigts de la main


Il y avait 2 Olivier Adam sur le présentoir. J'ai demandé: lequel me conseillez vous? Elle a répondu sans hésiter: celui-là. Vous êtes bien sûre de vous, ai-je répliqué, pourquoi cela? Parce que celui-là, je l'ai lu, pas l'autre.

Imparable.

C'est une histoire d'ados qui se rencontrent à l'hôpital. A lire et à faire lire à vos ados, plutôt que des romans de quai de gare.

Enfin


Bambin a daigné. C'est un peu comme la marche ou la propreté. Jusqu'à ce qu'il daigne, on se disait que peut-être, il serait très... différent de ses aînés! Et puis, après tout, qu'est ce que c'est que quelques années à l'échelle de toute une vie!

Dans l'assiette d'Arlette


Qu'est-ce qu'on mange? De la fondue de poireaux. Beueueurk. Pas grave, moi, je trouve ça délicieux, et comme c'est beaucoup de travail, je ne vous forcerai surtout pas, je préfère tout me garder... Les assiettes se sont approchées, l'air de rien. J'y ai déposé une pincée de légumes. elles sont revenues à la charge. Mais, c'est pas des poireaux, ça, c'est BON! Ben si.

La fondue de poireaux, c'est un peu comme les épinards frais. C'est la main d'oeuvre qui fait tout le goût.

Oui, je sais, les frites surgelées, c'est zéro main d'oeuvre et pourtant, ils adorent...Mais bon, c'est des frites!

mardi, février 24, 2009

Mimosa for ever


Je sais, je peux pas m'empêcher. Les gros clichés à la forever, ça m'a toujours fait marrer...D'autant que pour les mimosas, c'est juste un tout petit peu mieux que la floraison du lin, faut tomber la bonne quinzaine. Et tes allergies Arlette, m'objecterez-vous? Fi! elles ne se déclenchent qu'en présence indésirable d'un certain type d'animal. comme disent les copains qui ont réussi à vous coincer pour une soirée photos-de-vacances, là, on se rend pas bien compte, mais c'était vachement, beau, hein? Chérie?

Arlette est une artiste, une vraie.


Parce que les artistes, les vrais, ont tous eu leur "période" (nan, c'est pas l'expression nunuche pour dire leurs ragnagna...). Arlette, fondamentalement parlant, elle est toujours en période bleue. Mais parfois, elle s'en écarte.

Là, dans cette lessive, période prune. allez, je vous la fais...Arlette c'est une brave pomme. Au fond.

Entre dieu et moi...


Un roman de "poulette" sans intérêt. Genre ado qui essaye d'écrire, à base de grands sentiments. J'aurais dû me méfier: les pages sont roses. si si. Rose bonbon. Encore que, des bonbons roses, à part les malabars...on n'en voit plus des tonnes, de nos jours. Ha si! Les fraises Tagada!

dimanche, février 15, 2009

Travaux pratiques de Physique


...le terme "mécanique des fluides" m'a toujours fasciné...

Objet insolite


Arlette fait son carnaval...


Arlette lit la presse


Faire du feu, c'est toute une opération stratégique qui demande une élaboration minutieuse. Dans une cagette bien sèche, on commence par chiffonner du papier journal. Et là, l'oeil d'Arlette, en liaison directe avec le pois chiche (blonde, la crinière...) a tilté. Mon ami Benoît qui s'est fâché avec Le Parisien, disait qu'il n'aimait pas Télérama. Maintenant, je sais pourquoi. Il était tout simplement JALOUX. Mes allumages de cheminée m'ont fait découvrir qu'il y avait pire que Glacis-Voilà : les mêmes inepties raccoleuses, agrémentées des chiens écrasés en banlieue, sur du papier qui salit les doigts, et dans un format qui empêche toute consultation aux toilettes...(de ttes façons, depuis l'avènement de l'iphone, plus personne ne lit de magazines aux toilettes).

Les soeurs fâchées


Ma découverte du mois! Comme un petit parfum de plagiat des "yeux jaunes des crocodiles", mais avec une force d'identification terrible. Cette impression bizarre d'être et d'avoir été. L'une et l'autre. La snob désabusée et l'autre, la gentille godiche. Visionné deux fois. Allez comprendre. Moi, ça m'émeut vachement plus que Bruce Willis. ça doit être une question de testostérone.

mercredi, février 04, 2009

Mon William Boyd

Fini. L'histoire? A Oxford, en 1976. Ruth, qui a commencé une thèse il y a longtemps, et qui préfère donner des cours de langue à des étudiants étrangers vit tranquille avec son fils de 5 ans, enfant né dans le péché d'une liaison avec un prof d'université allemand, anarchiste et marié-qui-quittera-jamais-sa-femme. Là, c'est pour vous donnerla mesure de la moralité de la dame.
Les chiens ne font pas des chats, disait ma grand-mère, sage et avisée, un peu portée sur le lieu commun, car la mère de ruth lui remet un jour un manuscrit, qui se trouve être son auto-biographie. Et l'on découvre que cette mère tranquille est russe, qu'elle s'appelle en fait Eva Delectorskaia, et qu'elle a été espionne pendant la guerre.
des allers/retours passé présent, la vie d'une espionne en 39-40, des clichés à la Tati, du boyd qui ressemble étrangement à du Lodge, en amérique, avec une anecdote de préservatif qui rappelle encore étrangement un autre auteur américain que j'affectionne, bref, un bon scénario. Là, j'ai commencé un livre de poulette, et ben, ça passe mal. Comme des raviolis en boîte après un étoilé.

Les bureaux modernes

Avant, on avait un cadre avec une photo de ses bambins sur son bureau. Lesquels Bambins disaient (c'est nous, ça) "non mais tu m'as vu là-dessus, j'étais toute petite, tu pourrais la changer la photo, de quoi on a l'air, c'te honte".
Maintenant (pas après), on a ses bambins en fond d'écran. Avec plein d'icônes partout qui les constellent de petites taches. Clic sur le nez, vla du courrier...
Moi, je reste quelquefois plantée au fond de mon écran. Je voudrais caresser ses petites épaules en vrai. Pas ce trou dans mon ventre et l'image qui se brouille.

mardi, février 03, 2009

Arlette et les crottes de chien


J'ai un petit faible pour Cagnes. Allez savoir pourquoi...moi, je sais: y'a une digue le long de la mer, avec rien pour faire écran entre le promeneur et la plage, et des places de parking pour s'arrêter si on veut, sans mettre de pièces dans un poteau-dateur.

Quand je vais à Nice, j'ai décidé, je m'offre ma petite balade de bord de mer. Nostalgie, nostalgie, les doukichôle dans le mange-disque, et je regarde si la corse me fait coucou dans le lointain.

C'est ainsi que j'ai fait cette trouvaille sous la pluie: un promeneur de chien-chien (encore un qui est tellement bien chez lui qu'il lui faut un prétexte pour aller prendre l'air, même sous les averses...) a imaginé ce système, à la fois ingénieux, citoyen, et anit-douleur: l'épuisette à crottes. Munie d'un sac plastique, l'épuisette permet de recueillir les productions avant qu'elles ne soient tombées sur le bitume, ou dans le sable. Je ne vous détaillerai pas tous les avantages de ce système, adapté à toutes les consistances, mais après la pince à cornichon ramasse balles, on atteint ici des sommets.

Respect!

dimanche, février 01, 2009

Cuisine générationnelle

Un jour, on se rend compte qu'on a vieilli. Qaund votre fils vous explique comment cuisiner le pop-corn, et que vous obtenez ce résultat. Je vais m'en tenir à des recettes plus traditionnelles. De mon âge, quoi. D'ailleurs, je vous aurais bien photogrphié la tarte aux pommes de ce midi, mais, allez savoir...elle a disparu!
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le téléphone pleure: le match

Voici la proposition de Brunette. Moins poilu...on vote?
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Ma p'tite bibliothèque

Les infidélités, ça a du bon... Ma passion pour la lecture...ça va, ça vient. Et après une période de désert, bonne surprise sur les rayonnages de la médiathèque: vos auteurs préférés en ont profité pour vous offrir, rien que pour vous, leur dernier bébé. Celui-là donne envie d'aller voir "Une femme française"...pas vous?
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conductrice

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