dimanche, février 15, 2009

Arlette lit la presse


Faire du feu, c'est toute une opération stratégique qui demande une élaboration minutieuse. Dans une cagette bien sèche, on commence par chiffonner du papier journal. Et là, l'oeil d'Arlette, en liaison directe avec le pois chiche (blonde, la crinière...) a tilté. Mon ami Benoît qui s'est fâché avec Le Parisien, disait qu'il n'aimait pas Télérama. Maintenant, je sais pourquoi. Il était tout simplement JALOUX. Mes allumages de cheminée m'ont fait découvrir qu'il y avait pire que Glacis-Voilà : les mêmes inepties raccoleuses, agrémentées des chiens écrasés en banlieue, sur du papier qui salit les doigts, et dans un format qui empêche toute consultation aux toilettes...(de ttes façons, depuis l'avènement de l'iphone, plus personne ne lit de magazines aux toilettes).

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