mercredi, février 04, 2009

Mon William Boyd

Fini. L'histoire? A Oxford, en 1976. Ruth, qui a commencé une thèse il y a longtemps, et qui préfère donner des cours de langue à des étudiants étrangers vit tranquille avec son fils de 5 ans, enfant né dans le péché d'une liaison avec un prof d'université allemand, anarchiste et marié-qui-quittera-jamais-sa-femme. Là, c'est pour vous donnerla mesure de la moralité de la dame.
Les chiens ne font pas des chats, disait ma grand-mère, sage et avisée, un peu portée sur le lieu commun, car la mère de ruth lui remet un jour un manuscrit, qui se trouve être son auto-biographie. Et l'on découvre que cette mère tranquille est russe, qu'elle s'appelle en fait Eva Delectorskaia, et qu'elle a été espionne pendant la guerre.
des allers/retours passé présent, la vie d'une espionne en 39-40, des clichés à la Tati, du boyd qui ressemble étrangement à du Lodge, en amérique, avec une anecdote de préservatif qui rappelle encore étrangement un autre auteur américain que j'affectionne, bref, un bon scénario. Là, j'ai commencé un livre de poulette, et ben, ça passe mal. Comme des raviolis en boîte après un étoilé.

5 commentaires:

Anonyme a dit…

J'adore la comparaison de la fin ... elle est pas jolie-jolie, appliquée à tout ... mais pourtant, elle peut s'appliquer à tout ...

Ouais, ton machin à taper, là, il a raison, ça s'invente toujours pas ... j'adore blogspot, vraiment, surtout chez toi, c'est hyper intuitif comme truc : "immenst" ... Ouais, machin, t'as raison, c'est un truc de ouf, un truc de malade, c'est immenst !

Anonyme a dit…

t'as pas respecter les paliers de décompression forcément tu risques le malaise!! c'est quoi ton livre de poulette? j'lirais bien un livre commeça en ce moment.

Arlette a dit…

je sais. Mes comparaisons, elles ont toujours un arrière goût de clin d'oeil.

Arlette a dit…

@Cécile: "Entre dieu et moi, c'est fini". Et tu vas pas le croire...les pages sont ROSES! note, j'ai la vie en sourdine qui m'attend, vla pourquoi je m'offre une pause.

Brunette à Nancy a dit…

La vie en sourdine ? Quésaquoi ?