lundi, octobre 09, 2006

Le diable et les Prada

Evidemment, on ne s'attendait pas à un chef-d'oeuvre. Mais on a été agréablement surprises par ce gentil film, qui préfigure la presse de demain: au lieu de tourner les pages d'un magazine, on aura...ça. La même chose, mais avec le mouvement et le son. C'est un film tout à fait regardable avec un très gros rhume, une espèce de mélange de Bridget Jones et de Sex and the city. Meryl est beaucoup plus humaine que ce à quoi on s'attendait, mais il faut reconnaître que les personnages ont à peu près autant d'épaisseur que leurs cuisses. Difficile donc de s'identifier, sauf au diable, et du coup, on regarde ça d'un oeil amusé et bienveillant.
J'ai pas pleuré.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Petit message personnel pour Alice : ce n'est pas faute d'avoir scruté attentivement tous les détails mode du film, mais je suis au regret de t'annoncer que le sac Champion rose ne sera pas le must have de cet hiver.

Anonyme a dit…

Dommage je prévoyais d'en acheter de toutes les tailles..