Ce tableau, je l'ai aimé tout de suite. Il est de Philippe le peintre, mon ami qui bidouille maintenant de la musique.
Je l'ai beaucoup charrié sur son titre: les conditions d'une rencontre.
Je trouvais que ça avait un arrière goût de juridique, qui collait mal avec l'artiste.
Maintenant, je me dis qu'il était certainement dans le second degré.
Et je trouve ça beaucoup plus fun que "envolée lyrique sur un air de vachequirit".
Le prochain qui me dit "j'aime bien ce tableau. Surtout le cadre".
Je le mords.
3 commentaires:
Rassures-toi, Arlette, "rencontre" ne fait pas partie du vocabulaire juridique. Confrontation, pourparlers, association, cohabitation, union, réunion, etc, OK. C'est moins poétique, quand même...
Justement j'allais dire le cadre étouffe la peinture plutôt que de la mettre en valeur
C'est ce que je me suis dit aussi.
Au diable les cadres, les normes, les règles, les conventions, et tous les trucs étouffants qui emprêchent de respirer (c'est mon astrologue qui l'a dit).
J'ai ôté le cadre. Ce matin même.
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