lundi, avril 02, 2007

Mon copain le peintre

Le papier peint affreux en fond, je ne l'ai pas commis. C'est pour vous prouver aussi, qu'on peut s'habituer et ne plus voir, même les choses qu'on déteste le plus: le orange.
Refaire cette pièce, ce serait vraiment un chantier effrayant.
Pourtant j'y songe de plus en plus...

3 commentaires:

Anonyme a dit…

On peut venir le jour de l'inauguration de ta fenêtre inutile avc nos pots de peinture et faire des essais.. qu'en dis-tu ?

Anonyme a dit…

Me reste quelques bombes de peintures... je viens ?

Arlette a dit…

pitié, largo, pas les bombes! tu touches à mes collages, même en pensée, je t'envoie le peintre te casser la figure en direct.

Arlette, tu montres les dents?
Mon peintre à moi, c'est sacré.