mardi, avril 24, 2007

Ma p'tite bibliothèque


Oui, je sais. Il y avait bien longtemps. Mes dernières extases littéraires, figurez-vous, c'est Wonnacott & Wonnacott, avec la bible des statistiques, et Kotler & Dubois, avec la bible du marketing qui me les avaient procurées. C'est vous dire si la situation était désespérée.

Irving et Holder ayant sombré dans une idnondation bambinesque ( ils sèchent d'ailleurs, mon libraire va être bien content, je ne peux décemment pas les rendre dans cet état) j'ai repris pied avec un polar tendance.

Me voilà donc, toute salivante à la perspective d'un bon petit moment avec Myron Bolitar. Il a fallu que j'atteigne la page 310 pour enfin, ne plus décoller le nez.

Moins bien que les précédents: hé oui, quand on veut faire de la quantité, on est moins regardant sur la qualité...

On y apprend: que Coben n'est a priori pas fan de golf du tout. Mais que "y'a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis". Campagne électorale oblige (?), Coben soigne tout le monde: les hommes et les femmes, les jeunes et les vieux, les nantis et les moins, les aristo et les autres, les blonds et les bruns, les homo et les hétéros, les juifs, les blacks, les blancs, les hispaniques, les asiatiques...Si on fait le compte, chacun peut s'identifier, que ça frise la démagogie.

Harlan, encore un comme ça, et on va te rebaptiser Marc...

Méfie-toi.

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