Ce soir, je suis chez papamaman. Je suis moi, mais en même temps enfant, ado, fifille, et mère. Mère quand ça me chante, pour les câlins et les bisous, les gros yeux aussi, et fille pour m'échapper le temps d'une escapade dans la campagne, un petit tour en ville, une rêverie sur le muret...
quelqu'un m'a dit récemment, "je ne vois plus mes parents. On a rompu."
Rien que pour cette sensation-là, fille/mère ou fils/père, ça vaudrait le coup de renouer.
Et je ne parle même pas de l'odeur des pommes au four, et de la tisane de menthe fraîche du début de la nuit...
7 commentaires:
J'aime bien aussi quand tu tombes l'amure.
Mouais...mais j'préfère prévenir tout de suite: Arlette elle enlève pas le haut.
Inutile de préciser, la preuve c'est déjà fini.
euh et quand t'as pas eu pomme au four et odeur de verveine menthe, il te reste quoi à partager, le fameux lien du sang???? un lien ça s'étire, ça se tire, et parfois ça casse..........
Si ça se casse ça doit pouvoir se recoller, moi si j'en avais un c'est ce que j'essaierais de faire.
D'abord, c'est menthe fraîche, pas verveine desséchée, et puis je trouve qu'il faut éviter les formes impersonnelles dans ce genre de phrase. Quand un enfant arrive tout penaud en disant "le verre s'est cassé", je demande qu'il fasse un peu de grammaire: j'ai cassé le verre. On n'a jamais vu un lacet se casser tout seul. A un moment, quelqu'un a trop tiré dessus. Forcément.
Me demandais pourquoi j'étais fan de noeuds. Marins.
un verre mal posé, qui glisse peu à peu, il tombe tout seul et se casse tout seul. pourquoi toujours chercher un coupable?
largo c'est vrai un lien ça se renoue aussi... avec le temps comme un verre ça peut se recoller mais ce ne sera plus jamais le même verre.
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