Musso, c'est un peu comme un paquet de chamallow. Facile à manger, sans surprise, un peu écoeurant, (ouais, au 5ème, franchement écoeurant), et qui peut même rendre un petit peu malade si on en abuse. On l'sait, qui faut pas en manger trop, mais on l'fait quand même. Quand même.
Là, fin de week end, fauteuil moelleux devant la fenêtre ouverte en plein chaud soleil, qui se rattrappait de ne pas avoir brillé de la journée, Arlette a chaussé ses lunettes de soleil, déboutonné son chemisier, et ouvert Musso. Comme on se vautre dans la facilité.
J'ai lu les italiques et j'ai failli le refermer.
Bravement, j'ai attaqué. C'est moins marrant qu'Harlequin.
1 commentaire:
Ayé j'ai lu le Harlequin. je ne lirais pas le Musso, faut pas abuser non plus, je ne suis pas punie!!
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