vendredi, juin 23, 2006

Désespérées: la synthèse d'Arlette

On s'est tous plantés devant la vitrine pour choisir un article.
Moi, à la lecture de tout ça, je vois se dessiner deux groupes:

- la tendance féminine (avec Benoît, et Marc-l'inconnu ), qui choisit un personnage, pour ses qualités, et qui se dit que les défauts, y'en a sûrement, mais on s'en accomode, c'est pas le plus important;
- la tendance docs, qui essaye de fabriquer l'engin parfait (déformation professionnlle?), un peu comme Arlette compose son menu au restau, en voulant l'entrée du menu 1, mais avec le filet d'huile à part, le plat du menu 2, mais d'autres légumes, le dessert du 3 avec plutôt de la glace à la place de la chantilly. Et, en général, elle trouve encore à redire. Jamais contente celle-là.
Et puis Alice, qui a pas bien lu la question, et qui nous explique à qui elle ressemble.

ça, ça s'appelle une synthèse.
Pour l'analyse, il faut un divan.
Vous z'en avez vous, des divans?

Pas de conclusions hâtives; j'avais tenté de faire la sieste, mais sans succès.

6 commentaires:

Anonyme a dit…

Pas de divan, mais une ananlyse similaire : les femmes (et certains hommes)dissèquent les qualités psychologiques des personnages et pensent qu'elles sont un mélange de certaines d'entre elles, les docs dissèquent les qualités physiques des héroïnes et aimeraient bien un mélange de certaines d'entre elles...

Anonyme a dit…

Là, les docs chargent!!!
Mais, y zasssummmennnt!!!

Arlette a dit…

ça y est, tu l'as rencontré l'autre doc, que tu parles pour lui aussi?

Anonyme a dit…

Eh non

Anonyme a dit…

Etrange comme on peut ne pas être Bobologue, ni spécialisé dans la haute couture sous anesthésie -je subodore qu'ils sont grands ces docs- et avoir une tendresse particulière pour celles qui interpellent a prime abord par leur physique!

Blonde Pas Docteur ni Médecin

Arlette a dit…

Dis donc, BPDM (Blonde Psychologue Dans ses Moments perdus), moi j'appelle pas ça de la tendresse. Ou alors les ni-bobologues-ni-couturiers font dans le second degré, mais sans le vouloir.