Jusqu'à l'an dernier, au printemps, c'était les billes qui occupaient les pensées de nos garnements pas encore playstationisés.
Hélas, ce bon vieux temps est révolu. Nos chers 6èmes viennent de découvrir les joies du pétard.
Moi, pratique et pédagogue, je leur ai aussitôt proposé d'aller en acheter plein avec papa qui les emmènerait ensuite les griller tous sur la plage ou dans les dunes.
D'après Gauthier, c'est bien plus drôle sur le chemin du collège.
J'ai promis de garder secrètes les identités des consommateurs. Mais je vous signale tout de même qu'il existe des recettes artisanales pour fabriquer des fumigènes à base de balles de ping-pong, et que le top du top, c'est le pétard dans la crotte de chien. L'effet produit est, paraît-il, délirant!
Rassurez-vous: Mr Stoprix m'a assuré qu'il ne vendait sa marchandise qu'en fonction de l'âge des acheteurs. C'est ça, le service de proximité. Personnalisé et sur-mesure.
Peut-on lui fournir des photos des clients à ne pas servir?
3 commentaires:
mé c onteu japren con a devoilé comen je fesé mé fumigen artisanal un secré ki se transmé de pér en fis
sois tranquille, ptit lou, ton identité, ainsi que celle de ton illustre papa ne m'a pas été révélée. Je n'ai eu que la recette. et encore, j'ai oublié de quoi la balle était farcie...
Le doc se souvient d'inoubliables soirées au BullDog café d'amsterdam, ou les pétards explosaient à la tronche des habitués. C'était il y a presque 20 ans...
Ah, nostalgie, nostalgie.
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