vendredi, novembre 24, 2006

Télépathie

Meuh, non, pas encore une maladie, ou un prétexte pour vous extorquer des sous! Simplement, ce matin, je pensais à B. Tiens, me disais-je, je vais lui écrire un petit message, parce qu'on ne s'est pas vues hier, et je me demande ce qu'elle devient. Le croiriez-vous, dring dring (ça c'est ma sonnerie de baby sitter, elle imite parfaitement le téléphone de ma grand-mère, enfin, avant qu'elle ne le casse, celui qui avait un cadran qui tourne). C'était B! Hop une digue programmée.
L'après-midi, avant la digue, je pensais à F. (là j'en vois qui cogitent, mais qui c'est B, qui c'est F? Je vous signale qu'il se peut que j'aie choisi des lettres au hasard, pour brouiller les pistes!). Et hop! Téléphone qui sonne (l'autre). C'était F! On déjeune mardi.
Voilà.
Ceci dit, j'ai pensé à plein d'autres gens aussi aujourd'hui, et vous ne m'avez pas tous appelée. C'est normal. Je débute.

6 commentaires:

Anonyme a dit…

as tu pensé à moi ?

Arlette a dit…

sans arrêt! Je me dis: mais qui ça peut bien être? qu'est-ce que ça peut bien vouloir dire, ce pseudo?

Anonyme a dit…

et nous hier soir nous avons parlé de toi, de ton blog, je connais des gens , ils viennent lire et pffuit ils ne mettent même pas un petit mot en passant!!!! c'est dingue non???

et encore plus dingue, nous avons pensé à toi et tu ne nous a pas appellé......!!!! j'comprends pas.

Arlette a dit…

Ouais, ils exagèrent. Des fois, on a l'impression qu'on parle dans le vide. Heureusement qu'y en a qui suivent. Les fidèles.
J'ai pas appelé parce que j'étais occupée d'écrire. Plus ça vient et moins je sais où je vais. Une angoisse de plus.

Anonyme a dit…

C'est tout l'art du roman, l'extrapolation qui te fait perdre le fil et par une pirouette tu y reviens... c'est la fin du bouquin ! Tu deviens un vrai écrivain.

Arlette a dit…

on dirait que tu parles d'expérience. Nous cacherais-tu des choses(en dehors de tes charentaises made in Ciboure)?