dimanche, février 11, 2007

Ma p'tite bibliothèque


Quand je l'ai commencé, toute contente, (je me léchais les babines), j'ai eu une déception. Je m'attendais à retrouver mon ami Myron Bolitar et son fidèle blondinet bien élevé riche sûr de lui et qui est le meilleur en tout en plus il arrive à pic juste quand il faut bref le pote dont on rêve tous mais bon c'est juste en rêve parce qu'en vrai hein on sait bien que ça n'a jamais existé ça se saurait, et en fait, non.
Du coup, j'ai eu du mal à démarrer. Il m'a fallu pas moins de 2 salles d'attente différentes pour enfin rentrer dans l'histoire, et là, j'ai haleté jusqu'au bout. Bien ficelé.
Ce qui me plait chez Harlan Coben, c'est que de temps en temps, on tombe sur une réflexion profonde. Je sens que ce gars-là va finir par abandonner le polar pour faire de la nouvelle ou du roman. L'avenir nous le dira. En attendant, cet opus (hé hé, un peu de latin...) m'a fait étrangement penser à Douglas Kennedy dans "une relation dangereuse".
Une prochaine fois, ce serait sympa qu'il nous le fasse moins poor sur le paysage: entre les prénoms (Stacy! on a frisé le Jennifer...), les vieux parents malades dans le petit pavillon de banlieu, et l'engagement dans l'humanitaire...on frise le militantisme. Et ça énerve.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

"une relation dangereuse" de Kennedy, c'était pas mal, m'avais bien intéressé: j'va ptète le lire le book avec Stacy en dedans.
Après le tournoi des 6 nations.

Arlette a dit…

Je te préviens avant que t'investisses: le héros est doc mais, genre je pars à mes frais en Afrique reconstruire le visage des petits nenfants mutilés par les bombes...