lundi, décembre 04, 2006

Bienveillante Arlette

Depuis que j'ai été hélée au passage sur la digue, freinage catastrophe, pour me voir remettre le pavé de l'automne, j'ai avancé. Lentement, parce qu'il faut digérer entre deux, et aussi parce que je me suis dit: allez, tu vas noter les pages et les passages qui te font réagir.
La toccata est puissamment musclée. Une deuxième lecture n'est pas superflue. Certaines pages méritent même un peu plus. Quand aux Allemandes, je suis encore en plein dedans (p 143), mais avec Bach, on ne doit pas presser. Garder le tempo.
Cécile, plus que 20 jours...

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Exact: toccata dure, complexe, brutale, cinglante.
Allemandes I et II, plus technique, mise en place progressive de la méthode et description de Max, évolution dans la mise en place de la mécanique horrible et justifications des uns et des autres, lent et plus subtil, tranquille, comme un plan qui s'élabore naturellement.