Anne Perry, dans la collection "grands détectives" dirigée par Jean-Claude Zylberstein. Le coup de recopier la 4ème de couv, je ne vous l'avais pas encore fait? Si?
Donc, Anne Perry, c'est bien. On dirait un savant mélange de Jane Austen light et d'Agatha Christie soft. Le tout écrit par EM Forster. C'est agréable à lire, ça ne fait pas peur, ça ne fait pas pleurer, et le premier mort n'arrive qu'à la page 243.
J'ai noté ce passage, afin que vous deviniez dans quel pays l'action takes place, et aussi vous mettre l'eau à la bouche: "Il se joignit donc à Hester et Martha pour déguster une quiche froide et des cornichons accompagnés de thé et suivis d'une part de plum-pudding, tout en bavardant de choses et d'autres."
Moi, je trouve que c'est un goûter tout à fait digne de figurer sur la carte de mes petits menus réconfortants pour l'hiver. Et qui vaut largement le chocolat chaud crémeux-pain beurré-carabreizh.
2 commentaires:
Rien ne vaut tout de même un bon saucisson avec en prime une dégustation de fromages pour passer un hiver au sec.
J'ai commencé à lire le premier, "L'étrangleur de Cater Street", lorsqu'il est sorti chez 10/18 en 1998. Depuis je suis une accro. En fait, Anne Perry a écrit une première série de livres avec pour héros Charlotte et Thomas Pitt, puis une deuxième série avec Wiliam Monk et Hester Latterly pour héros.
Personnellement, je préfère la série avec Wiliam Monk et si je devais en recommander un sur tous, ce serait "Des âmes noires".
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