lundi, février 22, 2010

Nuit blanche

Ma nuit fut blanche. Toute blanche. A peine ai-je survolé le sommeil sur les petites heures du matin. Et conservé cette impression bizarre d'avoir été une phrase d'une ligne et demie.

3 commentaires:

4largo a dit…

Nuit blanche et note qui disparait... je suppose que c'est une manière de modérer ton impulsivité... enfin dur de te suivre quand même... faut avoir pas mal d'imagination et de persévérance... surtout pour un lecteur "lambda" as me !

doc a dit…

ahhh la lambada...

Arlette a dit…

Largo! Je ne doute pas que tu en aies...des tonnes! Un cambriolage, c'est un genre d'attaque perso, un quasi viol, et celui-là me laisse un arrière goût de vengeance pas cuite qui me chatouille le cerveau. L'auteur(e) ne s'est pas dévoilé(e), je crois que c'est ça qui me choque le plus. Comment peut-on dormir là-dessus?Normalement, il y a toujours un moment où ça finit par sortir...J'dois être trop pressée...
Doc: on a dit lettre grecque, pas danse latino-aguicheuse...