mardi, février 02, 2010

Arlette joue l'inspecteur Columbo

Columbo, mon héros. Pas de violence, ou très peu. De la finesse, un inspecteur qui n'en jette pas, mais qui dès les premières minutes sait qui il va devoir coincer (en général, le coupable est cupide et doté d'un ego surdimensionné, doublé d'un manipulateur, mais au fond, plutôt limité intellectuellement).
Quand un "commentaire anonyme écoeurant" est commis chez Arlette, cette petite futée se mue en Columbo.
Petite leçon en 3 temps, et en images, siouplait!

Repérage de la docqueste diarrhée écoeurante:
Identification, grâce à un petit outil tout bête: le tracking de blog it express. Les méchants ne savent pas forcément qu'ils laissent des traces. Ceux dont on pourrait penser qu'ils ne s'abreuvent pas des aventures d'Arlette, s'en repaissent en réalité, à des heures où les honnêtes gens terminent leurs corvées ménagères.

Recoupement avec un outil plus perfectionné, qui nous donne la réponse sous forme, non pas d'une adresse IP, mais d'une adresse...en briques!
Pour un cadeau d'anniversaire, c'était un chouette cadeau!
Croyez-vous que je doive quand même remercier l'expéditeur (trice)?

13 commentaires:

Fab Ulous a dit…

Arlette est un volcan sous la glace. L'Anonyme n'était pas outillé pour la casser. Pardonnons son amertume et sa rage...

bqmv a dit…

un passant a peut-être piraté le wi-fi de ces braves gens ;)

Arlette a dit…

@Fab Ulous: le pardon? cet acte humble et noble? Pas donné à tout le monde de savoir pardonner...question de formatage à la base...
@bqmv: un carnavaleux en goguette avec son PC sous le bras, par cette froide nuit?

doc a dit…

trop cool!! le savonneur savonné, l'emerdeur emmerdé, le comploteur démasqué.
cool, trop forte ARLETTE, respect.
doc et mille pensées de son hammam.

bqmv a dit…

il s'était p'tète déguisé en bureau

la Grise a dit…

Bien fait, Âne oh !..
C'est que not' dame Arlette faut pas la chercher !
Bien joué !
Mais tu avais peut-être une petite idée de la provenance, non ?

cécile ( qui ne savait pas que Columbo maitrisait l'informatique!!) a dit…

T'es dingue!! :))

ça va méchamment calmer les anes au nimes ou alors ils vont chercher un cybercafé ou poster de chez des potes :))

Arlette a dit…

des potes...c'est comme le grand amour d'une vie, ça dépend combien tu donnes. L'amour, l'amitié, c'est juste une question de $. Au final.

J. a dit…

J'ai beau savoir qu'elle existe, je reste stupéfaite par la bêtise humaine.

PS: Le jour où tu lances les chiens, regardes si google map indique un hammam à proximité. A mon avis, il ou elle y sera. Et à oualp on fait plus de dégats :-)

mbdel a dit…

Moi, tout cela ne m'inspire qu'un seul sentiment : Tristesse. Anonymat, lynchage, coups bas ... entre gens qui se sont aimés et dont personnellement j'espérais un peu plus de hauteur. Qu'y a t-il à gagner dans ces basses manoeuvres?

(B)elle a dit…

Y a rien à gagner, à faire ça, mbdel, rien d'autre que faire le mal autour de soi, pour s'inventer une importance, des raisons d'exister, de faire sortir le fiel de soi ... juste dégueulasse

Arlette a dit…

La réflexion de Mbdel est juste et pose d'autres questions.Des adultes se sont aimés, ont eu confiance l'un dans l'autre. Ils se sont séparés, cette confiance est restée. Certes un peu entaillée, mais globalement, ils ont continué à se comporter en adultes. Et puis tout à coup, tout dérape. On tombe dans l'hystérie totale. Mur, barbelés, communiqués de guerre, interdictions, menaces, coups bas. Je plains celui qui découvre "qu'il nourrit un serpent en son sein". Car malheureusement, les cartes sont données au départ. La princesse en haillons sera toujours une princesse, le contraire est aussi tellement vrai!Certaines pourront s'acheter tous les vernis de respectabilité du monde, la noblesse d'âme est un don que l'on reçoit au berceau.

mbdel a dit…

Merci Arlette de ton commentaire sur lequel je rebondis tellement je suis d'accord avec le thème de la princesse en haillons et de la boniche en carré Hermès! Le jour où nous envisageons de lier notre vie à celle de quelqu'un d'autre, ne regardons ni sa beauté, ni sa réussite sociale ou matérielle, ni son prestige ou même sa grandeur d'âme aujourd'hui; penchons-nous sur ses parents, son enfance, l'éducation qu'elle a reçu, les valeurs profondes qui lui ont été transmises : un jour ou l'autre, il ne restera que cela.