lundi, janvier 28, 2008

Vendredi 25 janvier.


Je suis allée chez le coiffeur. Ma pauvre Nathalie va avoir du boulot!

Depuis que je ne fréquentais plus les salons de coiffure, j'avais oublié que les vieilles peaux péroxydées, à la voix rocailleuse de tapineuse professionnelle, glissaient leur obole d'une main insistante dans les poches plaquées des pantalons de leur shampouineur attitré.

La scène à 50 cm de mes yeux zéquarquillés m'a ramené à la dure réalité.

Aucun commentaire: