Je suis allée chez le coiffeur. Ma pauvre Nathalie va avoir du boulot!
Depuis que je ne fréquentais plus les salons de coiffure, j'avais oublié que les vieilles peaux péroxydées, à la voix rocailleuse de tapineuse professionnelle, glissaient leur obole d'une main insistante dans les poches plaquées des pantalons de leur shampouineur attitré.
La scène à 50 cm de mes yeux zéquarquillés m'a ramené à la dure réalité.
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