vendredi, mai 08, 2009

David Lodge et Fersen

Dans les romans de Lodge, les héros ont toujours 48 ans, ils sont toujours un peu loosers, divorcés d'une folle, et prof d'une matière littéraire obscure en université. Ils assistent à des tas de symposiums, que même ce mot au pluriel doit pas prendre de "s" mais surement un "a", mais là n'est pas le propos.
L'un de ces excitants héros avait passé une partie de sa vie à calculer la fréquence d'un mot à la con dans les romans de Jane Austen, au nombre de - pour les marquants, dois-je vous rappeler ce nombre si ridiculement limité qu'on se sent obligé de les relire tous les 5 ans?
Ben, Fersen, c'est pareil. il a des tics de langages adorables.
Par exemple "bonbonne".
C'est tout.

2 commentaires:

C'est moi ! a dit…

Tu vois, pour un billet comme celui-là, je crois bien que je dois le reconnaitre : il me semble que je t'aimeuuuhhhhhh !

Arlette a dit…

Ha! t'aurais dis "je t'ééééémeuh", j'aurais senti Johnny. C'est donc pas une balgue. tu m'aimes. Chic alors!