Avant, quand je n'étais pas pauvre, je n'achetais jamais de livre. Et puis, il y a quelques jours, en traversant le bois d'Opio, j'ai eu un flash sur Fred Vargas. J'ai calculé qu'Alice a fêté son anniv il y a 3 ans, à la sortie de "Prom'nons nous éternellement", et qu'en 3 ans, Fred avait bien dû avoir le temps d'en sortir un nouveau. L'envie irrepresible d'Adamsberg, de ce style inimitable, et toc! un coup d'amazon pour me confirmer que j'avais vu juste, et un coup de price minister pour acquérir la chose. Je l'attends. Il est en route.
Alors, ensuite, j'ai entendu Jean Teullé sur France Inter, un matin, au rond point de Darbousson. Il expliquait qu'il ne gardait jamais les livres qu'il achetait. Il les dépose sur une corniche près de chez lui, ou bien si ils sont vraiment nuls, il les jette. Du coup, je réfléchis. Où vais-je déposer mon "lieu incertain"?
5 commentaires:
Dans une enveloppe que tu glisseras dans une boite jaune de la poste ...! Ou alors tu ferries (Ben quoi ? Pas le droit de neologiser un peu ?) fin juillet début aout pour venir me le livrer sur ma plage ... on utiliserait l'appli iPhone qui permet a deux de ces bestioles de biper qd elles se rapprochent l une de l'autre ... ce serait presque aussi bô que les vieilles pubs "impulse"...!
'tain... L'est que 7:30.... faut que jme calme moi qd mm ...!
C'est moins excitant que le coup de l'abri bus, ou du banc public, mais après tout, si on est sûr qu'au bout du compte, ça fait plaisir... c'est juste un moyen de différer l'abandon.
Je l'ai lu l'année dernière. (Je suis allée jusqu'à Carry pour trouver un exemplaire..)C'est pas le meilleur, mais on passe un bon moment.
M...! Carry, c carrément le bout du monde! lol
Depuis Caro, tu l'as dit !
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