vendredi, mai 30, 2008

Un instant suspendu

...je me suis glissée près de lui. J'ai respiré sa peau, là, au creux du cou et, les yeux fermés, je me suis laissée remplir de son souffle régulier et des petits bruits de son sommeil. J'ai effleuré sa joue, il a remué doucement, ses petits bras se sont enroulés autour de mes épaules et dans un soupir extasié il a murmuré: "je t'aime".

5 commentaires:

Anonyme a dit…

tu postules pour écrire chez Harlequin?? lol
mais non je ne me moque pas c'est juste de la jalousie!! re lol

Arlette a dit…

en fait, je me la pète en Laurence Pernoud...

Anonyme a dit…

Ca dépasse et de loin tous les colliers de nouilles, tabliers, etc ...

Arlette a dit…

mais j'ai eu aussi mon tablier!

Anonyme a dit…

Cécile, elle a dit : "les petits bras" !