vendredi, août 20, 2010

Arlette retourne au musée de la Moto

La particularité de ce singulier musée réside dans le nombre de pancartes indicatives. On sait qu'il est là, mais il est tellement là qu'on n'y était jamais rentré.
Cette fois, on a sauté le pas. J'ai dit: le premier qui le trouve a gagné. L'équipe masculine, emmenée par le sage Gauthier, ne souhaitant pas dépenser son énergie inutilement, s'est dirigée vers l'office du tourisme, en quête d'indication. L'équipe féminine et virevoltante a foncé en suivant les panneaux et a même pensé à rapporter une preuve de sa trouvaille à l'aide de son téléphone portable. Date et heure sur la photo, pour éviter les contestations.
La visite en est surprenante et très agréable. Passion du collectionneur. Pour moi, Moto, c'est synonyme de mauvais goût et de arhhggheuueuu-vroum-vroum, je sais c'est cliché, mais on s'refait pas. Là, que du vintage, de la bécane du siècle dernier, de la pétrolette de résistant, du design d'artiste. Comme si le Japon n'avait jamais existé.



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