
Juste pour contredire le billet précédent. C'est ça, être blonde.
Deux heures de chaise longue au bord de la piscine du château, avec rafraîchissement selon la technique du flamand rose, livre en main pour ne pas casser l'élan.
Thomas, bravo!
Je dois t'avouer que ton look ardissonnesque ne m'inspirait qu'à moitié, idem, le petit goût people de ton blog. Mais le premier chapître que tu m'as envoyé m'a fait cliquer sur la touche "commande" de mon amazone. J'ai succombé.
Mais qui est Thomas Clément?
Allez voir son site, très pro, pas du tout Arlette. http://clement.blogs.com/
C'est un trentenaire boulonnais, à l'écriture agréable, au regard acéré sur le monde dans lequel nous évoluons, même si les business people parisiens ne nous concernent pas tous, à la faculté de recul et de second degré qui laissent présager de bonnes choses pour l'avenir.
Comment on s'est rencontrés? (enfin, surtout moi...) Hé bien, gràce à Benoît. Car "les enfants du plastique" est un roman dans lequel il est question de bruit. De musique aussi.
Destin? J'ai fouiné dans ses Tomcast. Le seul que j'ai écouté, c'est celui d'un universal-manager qui roule en mercedes et écran plasma d'1m carré. Mon rêve. Mais pile dans le roman.
Si vous cherchez de l'exotisme et du dépaysement, passez votre chemin, et attendez que je vous envoie mes photos de Bretagne.
Frank a mon âge, et le visage du manager tomcasté. Il a aussi une grosse fêlure dans la vie et dans la tête. Un truc lui a éteint le soleil. Gourou manipulateur de foule, fournisseur de sirop à forte valeur ajoutée, il pose un regard désabusé sur tout ce qu'il a accompli, et il suffit d'un insignifiant grain de sable pour lui donner envie de tout envoyer balader. En beauté. Avec panache, tambours et trompettes. Il s'y emploie donc, avec humour, détachement, soupirs, et hargne. Autodestruction programmée sur montre digitale.
On est en 2010. ça pourrait être une fiction, non scientifique, mais c'est déjà beaucoup plus que la réalité. Dans ce monde que nous cotoyons chaque jour sans le vouloir: le business de la musique. Et Frank, ça pourrait être chacun d'entre nous. Si si.
Vous voulez des noms?
2 commentaires:
Ouais, envoie des noms!
J'ai oublié de préciser que Franck Matalo nous balance le nom de ses potes en code, potes réfugiés en amérique du sud, avec lesquels il doit jouer à la bataille navale: H Ûpmann Magnum 46, Monte-Cristo Especial 2, et Partagas D4. C'est partagas qui mène par 2 jeux à 1.
Maintenat, je réfléchis à la liste des noms...
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