Quand on se promène sur la digue de Leffrinckoucke (de temps en remps, faut prendre des risques et voyager), le dimanche matin, on voit des gens qui replient leur sac de couchage en s'étirant et en baillant, à côté de leur voiture, portière ouverte, avant de remonter leurs sièges-couchette.
ça, c'est pour les anciens scouts.
Parce que quelques mètres plus loin, par la porte coulissante du Ford Traffic de papa, on a une vue parfaite sur le matelas dunlopillo, la couette et les oreillers brodés assortis. Et la gamelle de médor.
C'est ça, un week-end à la mer, quand on ne connaît pas le perroquet.
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