lundi, juillet 31, 2006

Tapaça à Malo


Voici ce que Bonne Copine m'a rapporté comme souvenir de vacances. C'est vrai que je préfère ça à un cendrier marqué "Souvenir de Dubovica". Même si j'ai des bons souvenirs de Dubovica...

Je suis sûre que l'an dernier, elle n'aurait jamais pensé à prendre cette photo. comme quoi...

Blonde et le Seigneur


Les visites guidées des hauts lieux touristiques de la région ne m'empêchent pas de poursuivre ma lecture. Relecture. Avec bloc note. La première fois, on lit en se disant, comment ça va finir, tout ça? Façon conte de fée, mariage, cloches, beaucoup d'enfants, ou tragique?
A la deuxième fois, on sait. Alors on regarde en détail. On réfléchit aussi.
Cécile, à la 8ème fois, est-ce qu'on se met aussi à critiquer toutes les thèses qui ont été écrites sur le bouquin et qu'on s'est envoyées entre deux?
Doc, qu'est-ce que Cohen a compris et que tout le monde devrait aussi avoir saisi?
C'est que je ne veux pas passer à côté de l'essentiel, moi!


Plus j'avance, et moins je me sens Ariane. Y'a vraiment beaucoup de Solal, dans Arlette. Sans vouloir jouer sur les initiales. Et c'est à ça que j'ai pensé, en lavant ma poubelle. Parce que la vie, c'est pas toujours un roman. Ou du foie gras.

dimanche, juillet 30, 2006

Formule 1 tout confort

Quand on se promène sur la digue de Leffrinckoucke (de temps en remps, faut prendre des risques et voyager), le dimanche matin, on voit des gens qui replient leur sac de couchage en s'étirant et en baillant, à côté de leur voiture, portière ouverte, avant de remonter leurs sièges-couchette.
ça, c'est pour les anciens scouts.

Parce que quelques mètres plus loin, par la porte coulissante du Ford Traffic de papa, on a une vue parfaite sur le matelas dunlopillo, la couette et les oreillers brodés assortis. Et la gamelle de médor.

C'est ça, un week-end à la mer, quand on ne connaît pas le perroquet.

Une soirée mémorable


Depuis qu'elle avait vu "camping", Alice rêvait d'en visiter un pour de vrai.
Je lui ai donc concocté une petite soirée à la hauteur de ses espérances: ramassage vespéral en souris, petit tour dans Bray-Dunes, pour retrouver cet endroit mythique, et visite intégrale du site. Si vous aussi, vous voulez étonner vos amis, ou tout simplement vivre quelques heures sur une autre planète, voici le mode d'emploi:
- commencez par vous garer sur le parking du Palais du Picon (en face du Chalet du Touriste). Remarquez l'espèce de no man's land dans lequel vous vous trouvez, entre le panneau Belgique, et le panneau France.
- traversez la voie ferrée en direction de l'entrée du camping du Perroquet. C'est là que des anonymes malouines babysittaient dans des temps reculés. A la guérite du gardien, demandez si vous pouvez visiter. Très gentiment, il vous expliquera que contre simple dépôt d'une pièce d'identité (profitez-en pour rigoler en contemplant la photo, moins drôle que le permis de conduire, mais qd même, et notez dans votre calendrier d'anniversaire la date du propriétaire, histoire de ne pas oublier le bouquet le jour venu), vous pouvez parcourir, en voiture, les 2 kilomètres qui vous séparent de la plage.
- en attendant que la souris viennent embarquer tout le monde, apprenez par coeur les tarifs de séjour, et faites vous prendre en photo devant la mobylette du gardien. Celle-là, pratique, pas besoin d'escabeau pour l'enfourcher.
- ensuite, le grand voyage peut commencer: paradis du mobil-home samsuffit, de la caravane à auvent, de la tente militaire, on croise des ribambelles de djeuns en tongs à vélo, des short-marcel-chaussettes-savates, qui, à la nuit tombante sortent armés de leur pot de chambre et de leur rouleau de papier rose, sans dissimuler leurs intentions. Le fin du fin, c'est l'arrivée triomphante à la discothèque, bar, frites, boulodrome du bord de mer. On a faillit se laisser tenter par un karaoké. Mais, St Gnou, avec son pull autour du couP, et Champion, pieds nus dans ses bateaux nous ont fait observer, à juste titre, que sans string ni jogging lycra moulant, on risquait d'être refoulés à l'entrée. Nous nous sommes contentés d'un petit tour romantique sur la plage au soleil couchant. Vachement bien, le soleil couchant, au perroquet. De retour à l'entrée, récupérer son bien, et baisser la tête pour passer sous le fil. Hé oui, ici, madame, c'est du fait main. Pas de barrière rouge et blanche. Le même depuis des années.
Ensuite, constater que le palais du Picon étant fermé, il ne nous reste que la soirée dansante du "Chalet du Touriste" pour terminer de goûter tous les charmes du lieu. Air consterné de St Gnou, enthousiame délirant d'Arlette et Alice, nageant en plein bonheur, car elles ont reconnu les standards de Franck Mickaël, Adamo et Frédéric François.
Vite, avant qu'il ne reste plus de place en terrasse. Avec vue sur la piste. Et les campeuses à talons qui dansent ensemble, faute de messieurs compréhensifs. Vient le moment de passer une commande. Là aussi, on sent qu'il y a ici des habitudes dont au sujet desquelles nous ne sommes pas familiers. Par exemple, les glaces. Sur la carte, en face du parfum, il y a écrit au stylo: oui. Si c'est pas écrit, ça veut dire que la boule n'est pas dispo. Et puis, le choix est vite fait. C'est 2 boules ou 3 boules, à choisir parmi 5 parfums. Arlette et St Gnou, craignant des complications sur la balance, ont préféré s'en tenir à la spécialité du lieu. Après avoir vu 27 pubs de Picon... Enfin, se laisser bercer par la magie et le charme indéfinissable de cette délicieuse soirée d'été. Et terminer par le feu d'artifice du samedi à La Panne.

Ophtalmomaniaque


Des lunettes pour boire double.

Le palais du picon


Inoubliable. Il ferme tôt, le samedi.
Dommage...
Les reines de la nuit, c'est qui?

samedi, juillet 29, 2006

Les aventures d'Arlette et Alice


...en souris.
Un samedi soir sans dîner mondain?
hop! En souris les filles. (on s'appelle pas Simone)
A l'italienne. Les hommes devant, et direction Bray-Dunes.
Oui. J'ai osé.
J'ai fait découvrir...le Perroquet à Alice. Brave Souris a monté ses côtes en première. C'est nettement plus sportif qu'en 4x4.
He, ben, elle n'en est pas encore revenue. Enfin, si, elle est revenue. Mais, pas encore. Si vous voyez ce que je veux dire.
C'est une expérience très...forte!

Devinette pour Alice


Chère Alice,
qu'est-ce que c'est?

vendredi, juillet 28, 2006

Quand le bon goût


s'exhibe dans la rue.
C'est vrai, il y a pire.

courageuse arlette


Je suis allée lire un Paris-Match périmé au coin de la rue. Pour savoir si tout va bien, là-dedans. Le biologiste tardant à arriver, c'est Valérie qui s'est chargée du boulot. Elle a promis de ne pas faire mal. Et elle a tenu parole.
Vous avez remarqué? Les conversations obligatoires de l'infirmière et de son patient? Le truc léger destiné à détourner l'attention? ça ne vous rappelle pas les conversations du salon de coiffure? En plus court, puisque l'acte dure moins longtemps?
Pas facile, le métier d'infirmière...

jeudi, juillet 27, 2006

La belle et le seigneur


Ma ptite fiche de lecture. Pour la plage. Quand le soleil reviendra.
Et aussi pour éviter de parler tout seul dans sa tête. Les doigts transcrivent.
Indulgence. Please .

Tom-tom et Nanas


Les aventures des filles et de leurs tom-tom...
Celui que Brunette avait prêté à Arlette est revenu réparé (une sombre histoire de chargeur pas compatible...), quand à celui d'Alice, on ne sait toujours pas si elle a réussi à lui faire dire autre chose que l'endroit où elle se trouvait.
Heureusement qu'on a d'autres moyens, nous, pour trouver notre chemin.
Par exemple, un grand sourire et un air paniqué!

Salle de bain story: the end?


Et vous, vous êtes plutôt ça, ou carrément ça?




Enfin un bistrot où les serveurs sont...hum!

Des projets?

Et si on profitait du léger rafraîchissement dû à l'orage nocturne (sympas, ces petits orages en pleine nuit, ni vus, ni connus), pour aller faire découvrir la Belgique à notre jeune anglaise?

Bon, je veux bien convoyer des cartouches, si vos demandes me parviennent avant 10H, mais ma cathomobile n'étant pas équipée comme un 31 pieds, je ne prends pas de commande de chocolat.

Arlette à votre service.

mercredi, juillet 26, 2006

Dernier souper au château


Les ruines du château de Lacoste, qui résonnent encore des cris des unes et des rires des autres, les flambeaux et la débauche, c'était un peu ça que m'évoquait la mélodie mélancolique de Benjamin. En fait, je n'avais pas vraiment prêté attention aux paroles de la chanson.
C'est que le monsieur est énigmatique jusque dans sa prononciation. Même si il n'allaite pas, lui.

Hé ben, les zenfants, quand on y écoute de plus près (j'ai pourtant pas fréquenté de lyonnais ces temps derniers), on peut se faire peur.
Comment, Arlette, c'est des trucs pareils qui te viennent spontanément en tête?

Ben, j'avions pas bien écoutu. D'solée.

objet insolite: la photo


Il a la couleur de la 4L.
Il possède le confort de la 4L.
Il a un moteur, oui, mais pas de ROUES.

C'est pas une 4L.

So, What?

Une bouteille pour deux


Et moi qui, poliment, buvais à toutes petites gorgées, pour lui en laisser...
Et ça n'était pas une manoeuvre destinée à déstabiliser sa partenaire.
Pour cela, elle a d'autres moyens.
Beaucoup plus redoutables.

Vocabulaire


Peut-être que morlacuméen, c'est ça?
Herbeux, terreux et qui manque d'eau en été.
Mais accueillant. Et familier.

Juste un détail de couleur


Mon Télérama avait fait tout un intéressant dossier sur les séries américaines, qui, systématiquement faisaient des meilleurs chiffres d'audience télévisuelle que les bons films français classiques. Moi, je ne suis pas optimiste au point de dire que les français vont tellement souvent au cinéma, qu'ils n'ont plus envie de regarder des vrais films à la télé, mais plutôt, qu'une série bien formattée pour plaire à une cible bien moyenne, cartonne.

Donc, j'ai essayé "Grey's anatomy", qui d'après cet hebdomadaire parfois un brin trop intello de gauche (je rigole en vérifiant dans l'ours qu'il appartient bien à un groupe de presse catho), était distinguée pour ses qualités diverses.

Verdict d'Arlette: c'est Urgences en bleu. Et encore, pas un joli bleu comme j'aime. Un genre de lavande qui donne mauvaise mine.
Si vous êtes fans, allez-y, attention, c'est vite gonflant: y'a pas Bree.
Mais quand donc les directrices de mode des hôpitaux réussiront-elles à se faire entendre? Dans un secteur concurrentiel, le moindre détail compte!

La souris a repassé la barrière de Socx


Non sans émotion, et après avoir calé pile à l'endroit fatidique, la souris a repassé la frontière. On a décidé qu'elle ne resterait pas au garage, histoire de lui montrer qu'on ne l'a pas réparée pour des prunes. Du coup, elle va travailler tous les jours.
Quand le téléphone a sonné à 8 heures ce matin, je me suis dit: "c'est bon, Arlette, prends ton cable de remorquage et file sur le port en cathomobile".
Ben, non. c'était juste "tout va bien, elle est arrivée à bon port".
Ouf.
Pourvu que ça dure.

Ciné-victim


Où l'on reparle de "camping".
Hé oui.
Ce film a exploité le retour de la tong. Il a remis à l'honneur le moul-boul, la sangria et les dance-floor beaufs, mais aussi tenté de relancer "Belle du Seigneur", roman d'Albert Cohen, recommandé par Benoît sur le bruit des hommes, bien avant la sortie du film.

Alors, évidemment, de là à conclure que cet été est celui du roman d'amour, il n'y aurait qu'un pas. Seulement, les 1110 pages de l'édition folio font vite la sélection.
Je sais qui l'a mis dans sa valise de vacances, entre la trousse à maquillage et la trousse à médicaments.
Je l'ai vu traîner récemment, je ne sais plus sur quelle table basse masculine.
Alors, hier, dans ma bibliothèque préférée, je me suis dit: forcément, il doit être sorti. Tout St Pol a dû se ruer dessus.
Je suis allée vérifier.
Il était là. J'y ai vu comme un signe.
Vous auriez fait quoi, vous, à ma place?

ça remarche

les photos repassent...mais j'hésite: un objet insolite sans photo, c'est quand même beaucoup plus drôle, finalement!

mardi, juillet 25, 2006

Carnet rose


Bienvenue à Jeanne H, née ce dimanche, jour de l'anniversaire de sa maman, et surtout de Pupuce.
D'ailleurs, c'est la 2ème fois que les barbecues de Pupuce provoquent illico des accouchements. Je le sais, la dernière fois c'était Bambin.
Y'aurait là un joli créneau commercial à exploiter.
Evidemment, c'est assez saisonnier et aléatoire, mais pour se faire un peu d'argent de poche...

objet insolite

Pas facile, sans la photo, si?
Alors, qu'est-ce que c'est? A votre avis?

3 semaines de Ash


Ma bouffée d'oxygène de l'été vient d'arriver. Elle s'appelle Ash. Comme la lettre.
Oui, je sais, on peut faire des tas de mots vaseux...puisqu'Arlette va un peu mieux respirer, être plus libre et moins souffrir, peut-être.
Bon. ça part bien. Elle a de l'humour. Et des tongs.
en plus, elle chante. Là.
http://www.myspace.com/dreamsville

Le temps des moissons


On a toujours une bonne raison de pester au volant de sa voiture. D'habitude, ce sont les cyclistes en lycra par grappe de plusieurs qui nous énervent. En ce moment, on ronge son frein sur les petites routes de campagne, derrière des moissonneuses batteuses (en éternuant).

Et dans d'autres régions, le quotidien de l'automobiliste en retard, c'est...ça!

lundi, juillet 24, 2006

objet insolite


Je sais, il manque la patate.

Carmen ou Brice?


Fan de Brice de Nice ou de Carmen Cru?
J'ai noté un inquiétant retour du porte-bagage équipé d'un cageot. Bientôt en option pour un euro de plus sur les grosses cylindrées. C'est hype.
Je sens bien le bigoudi-charentaises dans la rue pour cet hiver.

Mod'Arlette: la petite robe noire.


Démodée? Trop classique? Non, non: simplement incontournable.
La petite robe noire
est la base de toute garde robe féminine futée.
En effet, elle est polyvalente. Elle sert aussi bien au retour de plage, au dessus d'un maillot mouillé assortie de sandales du pèlerin, que pour la ville avec des chaussures adaptées, et peut même vous faire le cocktail du préfet, avec juste un peu plus de talon, de bijoux et d'étole en soie.
Idéale, elle vous permet de choisir entrecôte marchand de vin ou pâtes bolognaise au restau, sans craindre de sortir de table avec l'avant scène repeinte aux bougnettes, et si vous renversez votre verre, elle ne vous dénoncera pas non plus.
Avec un peu de chance, vous pourrez la sortir deux jours de suite, pour peu que vous n'ayez pas joué au tennis avec la veille au soir.
Mais attention: le noir, c'est traître. Au moment de partir, vérifiez-là tout de même sous toutes les coutures. Y'a une chose qui pardonne pas, avec la petite robe noire: c'est d'avoir croisé un bambin armé d'une glace vanille par exemple, en rentrant de dîner. Sur le coup, ça vous humidifie un peu la fesse gauche. Pas grave. Mais au séchage, il reste des traînées blanches et disgracieuses qui peuvent paraître suspectes. Du coup, on est bien content d'avoir une petite jupe grise en réserve dans son placard!

dimanche, juillet 23, 2006

Cliché


A l'heure où les glacières bouchonnent sur l'A25, où les dîneurs ont trouvé leur terrasse à moules, où les mangeurs de glace n'ont pas encore noué leur pull autour du cou(p), la plage redevient fréquentable. Et bien sûr, Arlette, tu promènes tes sandales argentées...

Voici un cliché. J'ai pas dit une photo. Un cliché.
Des types qui jouent à la baballe.
Des filles sur une rabanne, au bord du terrain.
Les types sont de grands gamins. Ils courent, ils sautent, ils crient. Ils JOUENT. Ils ont oublié les filles.
Les filles n'en ont rien à cirer. Elles aimeraient pouvoir baisser le son. Elles téléphonent et elles papotent. Comme si elles étaient toutes seules.
Déjà.

J'ai pas attendu pour voir à quels athlètes elles "appartenaient".

Abandon sans forfait


J'ai calé page 51. Minable performance.
C'est le journal de la soeur d'Arthur Rimbaud.
Est-ce un exercice de style, visant à reproduire la pesanteur et l'inertie familiale de l'époque? J'accroche pas. Je ne peux pas comprendre cette fille, étant moi-même soeur d'un "artiste", qui a aussi choisi de mener une vie bizarre. J'ai un frère, mais je ne m'en souviens que quand on me le demande.
Alors, plus tard, peut-être, j'essaierai un autre Besson. Pour l'instant, il me laisse froide. Malgré toute l'eau -de mer?- que docnb² m'avait mis à la bouche.
Encore un coup de la nature. Les blondes, ça s'enflamme pas. En théorie.

La même, mais en négatif et sans les tatouages.


J'ai vu "camping".
Rassurez-vous, pas au cinéma. Je n'aurais pas poussé le vice jusqu'à dépenser l'argent de mon mari pour ce film aux antipodes du -bon- goût arletzien, ou alors, il aurait fallu une sacré bonne raison (prise d'otage, copine en détresse, besoin urgent d'une planque où personne ne songerait à venir me chercher...)

Hé bien, les zenfants, j'ai ri et pleuré, mais pas de rire. Fais gaffe Benoît.
Et je me suis vraiment, mais alors, vraiment sentie brun, poilu, ténébreux et pas commode. Pour une fois.
Arlette était Lanvin. Toute entière.
Par bonheur, y'a pas de camping sur la route de Socx. J'ai vérifié.

Service clientèle


L'auteur, Benoît Duteurtre, est un copain de Cédric (l'homme à la poussette tout-terrain qui envisage un caddie d'Arlette pour son marché mardital. Mais version burbe.)
Ca commence comme un Kafka à la sauce moderne: il perd son portable, tout son carnet d'adresses évidemment, doit continuer de payer l'abonnement, c'est contractuel, se ruine en hot-line, achète un autre téléphone, oublie plusieurs fois son code de CB, puis son code d'accès internet ...et finit par rencontrer la"Dominique Fanton"(dans ma citibank à moi, c'était son nom), qui l'emmène en jet faire du ski à Megève. (non, non, pas du jet-ski à Megève, ha ha).
C'est un peu-beaucoup- tiré par les cheveux. On n'y croit pas, même si on a tous eu des déboires avec nos divers fournisseurs de services media, mais comme il n'y a pas beaucoup de pages, on ne s'énerve pas.
Moi, le héros, je l'ai reconnu. C'était mon client (et mon dentiste) préféré. Il a eu toutes les tuiles possibles. Mon quality-test, en quelque sorte. Quelqu'un de précieux. Dès que ça pouvait merdouiller quelque part, c'était pour lui. Il s'appelle Bruno Schiff. Un des meilleurs chir-dent marseillais.
Si si. Tout le monde se pâme d'admiration devant ma couronne. Et je suis pas Miss France.
Comme quoi...y'a des princesses discrètes.

La bimbo

Il fait chaud, la bimbo lambine en maillot.
Arlette et ses copines aussi.
D'ailleurs, le rythme de cette chanson n'incite pas à entamer une partie de beach-ball endiablée (faut vraiment être dingue pour risquer de s'entailler les pieds à chaque sautillement disgracieux...). En revanche, elle me fait venir à l'esprit plein d'images...de la bimbo en maillot.
A votre avis, brune ou blonde, la bimbo de la chanson?

Allez, faites une petite pause pour écouter tranquillement. Le dimanche après-midi vient enfin de prendre fin!

Alors? La Bretagne?


Combien de fois ai-je répondu à cette question cette semaine?
Beaucoup...
La Bretagne, c'est joli. Si si si. Plutôt que Belle du Seigneur, lisez Rebecca.
La Bretagne, c'est aussi des harmonies de vert dans des objets tous simples et sans prétention.
Comme ça.
Et ne croyez pas qu'on l'a posé là, juste pour faire joli.
Z'avez vu la selle?
Pour briller à ce point, c'est qu'elle est astiquée en permanence! Avec compétence.

Un joyeux...


non-anniversaire à tous les autres!
Y'a des soirs de juillet qui ressemblent à...Noël!
C'est ça, aussi, Malo.

samedi, juillet 22, 2006

Stars avant tout.


Delon? Lagerfeld? Meuh, non!
Les stars d'un -délectable- moment, c'est bien sûr Arlette et son doc préféré.
Ha, ha, une lueur d'intérêt s'allume dans vos yeux, et tout à coup, vous lisez plus attentivement, plus vite, chassant les enfants qui vous tournent autour comme des mouches indésirables...

Voilà nos deux stars qui s'ignorent, déboulant d'une ruelle vers une place entourée de terrasses bondées, à croire que 35 degrés font sortir tous les dîneurs de la ville au même endroit... (le décor est planté).
Et là, pile comme dans un film, toutes les têtes se tournent vers les 2 stars qui s'avancent sur les pavés, à la recherche d'un endroit où se restaurer. Il manquait juste le murmure d'admiration qui accompagnait la vague des regards qui, les uns après les autres, se dirigeaient tous dans la même direction. Pourtant, certains dîneurs faisaient face à des filles pas franchement laides!

Un peu déstabilisée, j'ai demandé "t'as pas l'impression que tout le monde nous regarde?"
Réponse: " ben, si, c'est évident".

Rapide coup d'oeil vérificateur à notre tenue: pas de décolleté provocant, de serviette à carreaux nouée autour du cou, de fermeture éclair malencontreusement ouverte...non, tenue sobre, (on avait hésité entre moon-boots-doudoune-skis, et tongs-glacière-ballon-de-beach-volley, et puis non, on a fait classique et passe-partout), démarche droite et assurée, sourire charmant...

Alors quoi?
La gloire naissante d'Arlette, déjà plébiscitée par le grand public?
En y réfléchissant, c'est peut-être tout simplement leur différence de taille, qui comme Eva Longoria marchant aux côtés de Naomi, a suspendu le temps quelques minutes, sur cette place...

Bon Arlette, t'aurais pas les chevilles un peu gonflées ces temps-ci?

jeudi, juillet 20, 2006

Trop, c'est trop.


L'envie me noue les doigts et la jalousie m'assèche le cerveau.

Encore plus fort


Plus fort que le caddie d'Arlette, la charette d'Arnaud.
Et je vous assure que j'ai pris la photo sans savoir qui était derrière!
Un véritable pullman de plage.
enfin, je dis ça, mais si ça se trouve, il la push...

mercredi, juillet 19, 2006

1,57 m


Cette info de première qualité divulguée récemment par Brunette, sur notre bomba latina préférée ne doit pas laisser les arleziens et les arletziennes indifférents. En effet, je viens de rattraper mon retard dû aux vacances (4 épisodes), et voici les réflexions que cette remarque m'inspire:
- c'est certainement sa petite taille, qui a fait que ces messieurs l'ont citée en choeur et sans hésitations comme leur quasi préférée. (précisons que petite n'est pas péjoratif. Y'en a plein qui seraient bien contentes de rentrer dans un 34...)
- Brunette fait à peu près la même taille, et elle a un jardin, relativement grand, au vu des critères malouins. Identification? Avis aux jardiniers.
- Bomba passe très bien à l'image en sous-vêtements, mais elle a un vrai goût de chiotte pour choisir ses tops. Même Yvette horner refuserait de les porter.

Inédit: l'effet bénéfique de desperate housewives sur l'hygiène bucco-dentaire.
Entendu sur la plage avant l'orage, ce soir:
DocDent à une jeune patiente: "tu regardes D.H? Ben, tu dois te brosser les dents comme Porter...attention, y'a Mme Van de Kamp qui habite sur le palier juste en face. Si tu ne fais pas d'effort, je t'y emmène..."
Déjà comme ça, c'est pas toujours drôle d'aller se faire poser des barbelés dans la bouche, mais si en plus on ne peut plus tremper sa brosse à dents dans les toilettes...

Strepsil pour chimpanzé: la réponse, enfin.


J'avais oublié que je vous avais promis la réponse. Collophane, oui, mais pourquoi risque de traînées blanches sur les cuisses?
Pour ça.
Là.
Photo.

Souvenir d'enfance


Quand j'étais petite, je vivais dans une famille d'intello, et la télévision y étais interdite. Je me rattrappais le mercredi après-midi, chez ma grand-mère. (sujet de thèse de socio: rôle des grands parents dans l'éducation des enfants...)
Et j'aimais particulièrement un dessin animé, dont le monsieur sur la photo, là, doit lui aussi avoir la nostalgie...vous voyez lequel?
Mais moi, je ne suis pas prête à m'affubler d'une peau d'ours, même sexyment nouée en paréo autour des reins, et d'un gourdin pour chevaucher un menhir à roulettes.

Les caves du château


Je ne sais pas pourquoi, en visitant les caves du château, j'ai pensé, l'espace d'un instant, à St Gnou et à Dochhd...
D'autant que les salons aux parquets cirés qui craquent sous les tapis, étaient bien plus confortables que certains canapés en cuir, sur lesquels, au choix, on glisse ou on colle, ou on fait de la varappe toute la soirée pour éviter de se retrouver dans une position désavantageuse.

Au fait, les deux sus-cités, ça vous fait plaisir, au moins, qu'on pense à vous de temps en temps?

mardi, juillet 18, 2006

Salle de bain insolite


J'ai croisé cette salle de bain au hasard d'une chaumière martinière, et elle m'a plu. Parce qu'on y trouve des tas de trucs bizarres:
- des bouteilles de gnôle (tiens ça me fait penser à des promesses toujours pas tenues, ça...)
- une table à repasser
- une cheminée qu'on savait pas trop où ranger, avec des pierres noircies,
- un sac de voyage de Barbie, mais grand et doré.
- des tongs, alors qu'on n'est pas au camping,

et surtout, une tropézienne argentée, alors qu'on est loin de St Trop!

Arlette à l'ouest, une fois de plus.


Cette fois, on a eu droit au 47, une vraie chambre, avec un lit pour maman. Pas un box d'isolement sordide entre la méningite et la gastro.
Chambre avec vue. Sur les toits, la mer, le Kursaal, le coucher de soleil...Et puisqu'on ne dort pas vraiment, on a un formidable chantier de réflexion sous la main: l'institution Hôpital, et par extension, le système de santé français.
J'ai demandé du papier et un stylo. L'infirmière m'a regardé d'un air soupçonneux. C'est que j'ai des propositions à faire au ministre moi. Déjà retrouver comment il s'appelle, avant d'envoyer ma lettre...
Et avec tout ça, j'ai dû annuler la coiffeuse, et j'ai eu qu'une heure de plage ce soir!

lundi, juillet 17, 2006

Je m'en foot.


Il paraît qu'il y a eu baston dans la cour d'école. Moussaillon m'a raconté à sa manière de dix ans, le coup de l'italien qui traite l'autre. Benoît (le bruit des hommes) a donné son avis, et puis, aussi Laurent a développé. comme c'est un pote à Didier, je vous donne son adresse:http://coupdeboulezizou.blogspot.com/
Là, vous aurez plein de détails de pros.
Parce que, moi, le foot, je me suis arrêtée place Castellane, quand Papin-Boli-Waddle faisaient hurler le vélodrome. Depuis, je sais pas pourquoi, mais ça ne m'intéresse plus.

Les enfants du plastique


Juste pour contredire le billet précédent. C'est ça, être blonde.
Deux heures de chaise longue au bord de la piscine du château, avec rafraîchissement selon la technique du flamand rose, livre en main pour ne pas casser l'élan.
Thomas, bravo!
Je dois t'avouer que ton look ardissonnesque ne m'inspirait qu'à moitié, idem, le petit goût people de ton blog. Mais le premier chapître que tu m'as envoyé m'a fait cliquer sur la touche "commande" de mon amazone. J'ai succombé.

Mais qui est Thomas Clément?
Allez voir son site, très pro, pas du tout Arlette. http://clement.blogs.com/
C'est un trentenaire boulonnais, à l'écriture agréable, au regard acéré sur le monde dans lequel nous évoluons, même si les business people parisiens ne nous concernent pas tous, à la faculté de recul et de second degré qui laissent présager de bonnes choses pour l'avenir.
Comment on s'est rencontrés? (enfin, surtout moi...) Hé bien, gràce à Benoît. Car "les enfants du plastique" est un roman dans lequel il est question de bruit. De musique aussi.
Destin? J'ai fouiné dans ses Tomcast. Le seul que j'ai écouté, c'est celui d'un universal-manager qui roule en mercedes et écran plasma d'1m carré. Mon rêve. Mais pile dans le roman.

Si vous cherchez de l'exotisme et du dépaysement, passez votre chemin, et attendez que je vous envoie mes photos de Bretagne.
Frank a mon âge, et le visage du manager tomcasté. Il a aussi une grosse fêlure dans la vie et dans la tête. Un truc lui a éteint le soleil. Gourou manipulateur de foule, fournisseur de sirop à forte valeur ajoutée, il pose un regard désabusé sur tout ce qu'il a accompli, et il suffit d'un insignifiant grain de sable pour lui donner envie de tout envoyer balader. En beauté. Avec panache, tambours et trompettes. Il s'y emploie donc, avec humour, détachement, soupirs, et hargne. Autodestruction programmée sur montre digitale.
On est en 2010. ça pourrait être une fiction, non scientifique, mais c'est déjà beaucoup plus que la réalité. Dans ce monde que nous cotoyons chaque jour sans le vouloir: le business de la musique. Et Frank, ça pourrait être chacun d'entre nous. Si si.
Vous voulez des noms?