
Les ruines du château de Lacoste, qui résonnent encore des cris des unes et des rires des autres, les flambeaux et la débauche, c'était un peu ça que m'évoquait la mélodie mélancolique de Benjamin. En fait, je n'avais pas vraiment prêté attention aux paroles de la chanson.
C'est que le monsieur est énigmatique jusque dans sa prononciation. Même si il n'allaite pas, lui.
Hé ben, les zenfants, quand on y écoute de plus près (j'ai pourtant pas fréquenté de lyonnais ces temps derniers), on peut se faire peur.
Comment, Arlette, c'est des trucs pareils qui te viennent spontanément en tête?
Ben, j'avions pas bien écoutu. D'solée.

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