On a beau être dans les alpes maritimes, en novembre, quand on débarque sur un chantier sans fenêtre à 19h, en sortant de la chaleur douillette du bureau, relayée par la voiture, et qu'il faut enfiler sa tenue de combat, légèrement gagnée par l'humidité du soir, le tour, à la lumière de la lune et de la frontale...il faut une bonne dose de courage, pour rincer le rouleau à l'eau froide, et escalader l'échafaudage.
vendredi, novembre 19, 2010
Chamboule-tout
On a beau être dans les alpes maritimes, en novembre, quand on débarque sur un chantier sans fenêtre à 19h, en sortant de la chaleur douillette du bureau, relayée par la voiture, et qu'il faut enfiler sa tenue de combat, légèrement gagnée par l'humidité du soir, le tour, à la lumière de la lune et de la frontale...il faut une bonne dose de courage, pour rincer le rouleau à l'eau froide, et escalader l'échafaudage.
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6 commentaires:
Et Causette s'en est allé dans le froid glacial de l'hiver naissant...
OUAIS. et le noir aussi. Mais j'sus maligne: je travaille avec des gants. En polaire. Qui furent gris. Et pour protéger les jolies mains de M Arlette, je lui sors la bouilloire pour faire sa patouille à joints.
La pâte à joint à la bouilloire... c'est du bricolage 4 étoiles !
t'en rêves hein? quand on pianote sur des claviers toutes la journée et qu'on enfourche sa basse en rentrant le soir...faut bien ça!
La pâte à joints ... c'est pas mieux au briquet??? Et avec en fond sonore un vieux tube des Pink Floyd?
ha, oui...les vieux clichés! On peut être musicien sans fumer de moquette. Ni fumer tout court d'ailleurs. C plus pratique pour battre les pompiers à la course à pied.
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