
Quand un photographe célèbre, assisté d'une armée de maquilleurs, stylistes, artistes, invite dans ses studios high tech des sportifs de haut niveau dont les corps cavalent plusieurs heures par jours sur des terrains bourbeux, ça donne un calendrier qu'on feuillette avec plaisir en faisant la queue chez Virgin. Gràce aux merveilles de l'informatique, les retoucheurs arrivent même à glisser une lueur d'intelligence dans certains regards un peu trop...bruts de décoffrage. C'est dire, si pour une bonne oeuvre, on peut se fendre de quelques euros. Savoir quoi en faire après, c'est un autre problème: on n'a pas toutes une baraque de chantier pour prendre le thé au fond du jardin...
Quand une bande de potaches dunkerquois armés de leur téléphone mobile qui prend des photos veut s'en inspirer, ça donne un résultat tout à fait...différent.
Mais c'est pour une bonne oeuvre.
Qui n'a pas trop envie d'en faire de la pub...
Vous avez de la chance, je ne vous montre pas l'intérieur!